Edward Norton
Modern Family (Saison 1 à 9), une famille aux nombreuses facettes touchantes et pleines d’humour !
Bien souvent je vous parle de séries un peu tordues, violentes, glauques, avec de l’humour noir, mais rassurez-vous, j’aime aussi les choses simples comme le prouve cette critique de la série TV Modern Family 😉
Bande annonce pour ceux qui ne connaitraient pas.
Cette entrée a été publiée dans Articles Français, French post, Revue série TV et taguée a sad picture of a re dsky universe, a sad picture of a red sky, adam devine, andrea anders, ariel winter, benjamin bratt, billy dee Williams, Chazz Palminteri, comédie, comique, danny trejo, david cross, desmond andrew green, ed o’neill, Edward Norton, Elizabeth banks, ella hiller, eric stonestreet, fred Willard, humoristique, humour, jaden hiller, james marsden, jesse tyler ferguson, jonathan banks, Julie bowen, justin kirk, kevin daniels, Modern family, nathan fillon, Nathan lane, Nolan gould, Philip baker hall, rachael harris, Rebecca mark, reid ewing, rico rodriguez, rob riggle, sarah hyland, série tv, série tv addict, shelley long, sierra mark, Sofia Vergara, steve zahn, suzy nakamura, ty burrell.
L’île aux Chiens, de la stop motion toute en émotion canine ;)
Nouveau film de Wes Anderson, je me suis laissé tenter par l’ovni L’île aux Chiens !
Un voyage surréaliste dont je vais vous parler.

source
Un peu d’image histoire de comprendre les mots ovni et surréaliste que j’ai utilisé juste avant 😉
Cette entrée a été publiée dans Articles Français, Critiques cinéma, French post et taguée 2018, a sad picture of a red sky, A Sad Picture Of A Red Sky Universe, akira takayama, américain, animation, animation en volume, berlinale, bill murray, bob balabon, bryan crasnton, cinéma, cinéma worship, daniel auteuil, desmond andrew green, Edward Norton, film, frances mcdormand, greta gerwig, Harvey Keitel, hippolyte girardot, isabelle huppert, isle of dogs, Jeff Goldblum, koyu rankin, kunichi nomura, L’île aux chiens, Léa Seydoux, live Schreiber, louis garrel, Mathieu Amalric, movie, romain duris, Scarlett Johansson, stop motion, tilda swinton, vincent lindon, was Anderson, yoko ono, yvan attal.
Eh oui ! Moi aussi je suis aller voir Civil-War, et ces super-héros qui se mettent des claques m’ont fait rêver ;)
Aujourd’hui c’est cinéma ! Et pas sur n’importe quel film ! Parlons de Captain America Civil War !!!
Oui… je sais… tout le monde l’a déjà chroniqué cent fois, critiqué de long en large et en travers, mais je ne vais pas me gêner pour faire pareil 😀
Donc accrochez-vous, voici ma chronique sur cette Civil War de haut niveau, mais avant tout, un peu d’images 😉
Cette entrée a été publiée dans Articles Français, Critiques cinéma, French post et taguée 11 Juillet 2018, 12 Juillet 2017, action, Anthony Mackie, armure, aspect politique, Avengers, avengers age of ultron, Avengers Infinity War, bataille de l’aéroport, Benedict Cumberbatch, black panther, black widow, Brock Rumlow, Bucky, Bucky Barnes, Cameo, captain america, captain america Civil War, Captain America univers Marvel phase 2 Ant-Man Avengers 2 Anthony Russo Joe Russo Captain America The Winter Soldier, Chadwick Boseman, chris evans, cinéma film, civil war, clint Barton, Crossbones, daniel bruhl, Doctor Strange, Don Cheadle, Edward Norton, Elizabeth Olsen, Emily VanCamp, Everett Ross, Falcon, Frank Grillo, general Thaddeus Thunderbolt Ross, giant man, guerre civile entre les Avengers, hawkeye, Helmut Zemo, Hulk, humour, impressionnante, iron man, James Rhodey Rhodes, Jeremy Renner, Joint Counter Terrorism Center, la bataille de New York, magnifiquement interprété Daniel Brühl, Marisa Tomei, Martin Freeman, marvel cinematic univers, May Parker, Natasha Romanoff, new york, Paul Bettany, Paul Rudd, Peter Parker, point culminant, potentiel est énorme, régulation des super-humains, rebondissement, Robert Downey Jr, S.H.I.E.L.D., Sam Wilson, Scarlett Johansson, scènes post-générique, scénario, Scott Lang, Sebastian Stan, Sharon Carter, Sokovia, Spider-Man, Spider-man homecoming, stan lee, super héros, suspense, tchalla, Tom Holland, tony stark, Ultron, univers cinématographique marvel, vision, Wanda maximoff, war machine, Washington, William Hurt, Winter Soldier.
Marvel Cinematic Universe, le renouveau des films de super-héros ! (Phase 1)
Lorsque j’étais plus jeune, les super-héros se résumaient plus ou moins à Batman vu par Tim Burton, et les Supermans avec Christopher Reeve. Un peu plus vieux, la trilogie des Spiderman de Sam Raimi et le début de la trilogie Batman de Nolan sont venus se rajoutés au tableau des films de super-héros réussis. Mise à part ça, il n’y avait pas grand-chose et toutes autres tentatives finissaient plus ou moins en eau de boudin :p
Il faut l’admettre, même si ce ne sont pas des films profonds en signification ou avec des scénarios ultra-fouillés, les films Marvels ont révolutionné le genre avec Iron Man en 2008. Malgré ce qui peut être dis, ces films sont tout de même de qualité et bluffant comparé à tout ce que l’on avait pu voir jusqu’à maintenant. il y a clairement un avant et un après Marvel Cinematic Universe !
Vu que je n’avais encore jamais vraiment parlé de tous ces films, j’ai donc décidé de faire deux articles pour parler des super-héros sauce Marvel. Le premier est celui que vous êtes en train de lire ( 😉 ) et qui concerne la Phase 1 comme ils aiment à l’appeler. Dimanche prochain arrivera un second article concernant la Phase 2, 3 et les à-côtés. J’ai voulu sortir ces deux articles de cette façon, et à ces dates particulières, pour marquer la sortie de Captain America Civil War le 27 Avril, c’est-à-dire le mercredi qui arrive 😀
Ainsi mes deux articles concernant les Phases 1 et 2 de l’univers Marvel encadrent la sortie du premier film de la Phase 3 🙂 Bref lol
Rentrons maintenant dans le vif du sujet avec une petite vidéo pour présenter Iron Man 1, tout premier film de cet univers !
Cette entrée a été publiée dans Articles Français, Critiques cinéma, French post et taguée 1942, 1943, 2003, 2008, 2010, 2011, 2012, abomination, ac dc, action, action marvel, addict, agent britannique, agent du SHIELD, Alexis Denisof, Ang Lee, Angel, Anthony Hopkins, anton Vanko, armure, Arnim Zola, Asgard, aspect Divin, Avengers, Avengers 2 Age of Ultron, Avengers Assembled, aventure, batman, black widow, Bruce Banner, Bucky Barnes, Buffy, Buffy la tueuse de vampire, Buffy The Vampire Slayer, Cameo, cameo stan lee, captain america, captain america Civil War, Captain America The First Avenger, chasse au trésor, Chérie j’ai rétrécie les gosses, chef d’Hydra, Chitauri, chris evans, chris hemsworth, christopher nolan, Christopher Reeve, cinéma, cinéma marvel, Clark Gregg, clint Barton, Cobie Smulders, colonel Chester Philips, conclusion épique, Crane rouge, cube cosmique, Danny The Dog, darcy, Darcy Lewis, décalé, De quel côté êtes vous, dieu, directeur du Shield, Divin, Dominic Cooper, Don Cheadle, Dr Abraham Erskine, Dr Horrible Sing Along Blog, drole, easter-eggs, Edward Norton, Elf, Elizabeth Ross, Emil Blonsky, Evolution des armures, Fandral, fin de la Phase 1, Firefly, fr, français, france, Frigga, fun, général ross, general Thaddeus Thunderbolt Ross, Grand Prix de Monaco, grenoble, Gwyneth Paltrow, Harold “Happy” Hogan, Hawk Eye, Hayley Atwell, héros marvel, Heimdall, Hogun, Howard Stark, Hugo Weaving, Hulk, humour, humour décalé, Hydra, idris elba, initiative Avengers, Insaisissable, iron man, Iron Man 2, Iron Monger, Isère, Jaime Alexander, James Bucky Barnes, jane foster, Jarvis, Jasper Sitwell, Jötunheim, Jeff Bridges, Jeremy Renner, Joe Johnston, Johann Schmidt, John Slattery, Jon Favreau, Josh Brolin, Joshua Dallas, joss whedon, Juillet, Juin, Jumanji, Jurassic Park III, justin hammer, Kat Dennings, Kenneth Branagh, kitch, la bataille de New York, la Phase 2, la veuve noire, l’abomination, l’autre, l’exposition Le Monde de Demain, le Choc Des Titans, Le grand show de super-héros, le Leader, le marteau de Thor, le renouveau des films de super-héros, Lieutenant Colonel James « Rhodey » Rhodes, Liv Tyler, loki, Louis Leterrier, lyon, magnifique méchant, Mai, Mark Ruffalo, marteau de thor, Marvel cinematic universe, marvel easter eggs, marvel phase 1, marvel Phase 2, marvel phase 3, Marvel’s Agent Carter, Marvel’s Agents of S.H.I.E.L.D., Marvel’s The Avengers, Marvels, Maximiliano Hernandez, Mickey Rourke, Mjölnir, moins de scènes d’actions, Musique, natalie portman, Natasha Romanoff, Neal McDonough, New Jersey, nick fury, Norvège, nouveau Mexique, Obadiah Stane, Odin, Paul Bettany, Peggy carter, Pepper Potts, Phil Coulson, Psychologique, Ray Stevenson, Réacteur ARK, Réalisateur français, red skull, rene russo, retrospective, revolution, Rhône-Alpes, rigolo, Robert Downey Jr, rock, rocketeer, Sam Raimi, Sam Rockwell, Samuel L. Jackson, Samuel Sterns, Scarlett Johansson, scène post générique, science, Sebastian Stan, Shawarmas, SHIELD, Sif, spiderman, stan lee, Stanley Tucci, Stark Industrie, Stellan Skarsgard, steve rogers, super héros, superman, Tadanobu Asano, Team Cap, Technologie, Terrence Howard, Tesseract, Thanos, The Incredible Hulk, thor, tie-in, tie-in marvel, Tim Blake Nelson, Tim Burton, Tim Roth, Timothy Dum Dum Dugan, Toby Jones, tom hiddleston, Tommy Lee Jones, tony stark, Transporteur, un pari osé, un playboy millionnaire, univers Marvel, voiron, Volstagg, vourey, war machine, Which side are you on, Whiplash, William Hurt, Wonder Woman, Zathura.
Birdman marque le retour de Michael Keaton qui nous prouve qu’il y a du talent derrière le masque de super-héros
Dans cet article cinéma nous allons parler un peu film Oscarisé même si ce n’est généralement pas quelque chose qui va me pousser à voir un film, je vais faire une exception avec Birdman or (The Unexpected Virtue of Ignorance) ! Je suivais la réalisation de ce film depuis un bon petit bout de temps, et c’est surtout pour cette raison que je l’ai vus et que je vais vous en parler (et non en raison du grand nombre d’Oscars qu’il a ramené).
Dernier film de Alejandro Gonzalez Inarritu avec sous la capuche du super-héros un Michael Keaton qui nous reviens avec une prestation époustouflante. Mais voyons d’abord la bande annonce.
Cette entrée a été publiée dans Articles Français, Critiques cinéma, French post et taguée 1992, 2000, 2003, 2006, 21 Grams, actrice fragile, Alejandro Gonzalez Inarritu, Amores perros, Babel, bande annonce, batman, belle image, Best Director, Best Picture, biographique, Birdman, Birdman or (The Unexpected Virtue of Ignorance), Broadway, cinéma, Cinematographie, comédie, desmond andrew green, divertissement de grande qualité, drama, dramatiques, Edward Norton, Emma Stone, film, gentil fille, gloire, Hollywood, humour, interprété, J.K. Simmons, magnifiques, marquants, meilleur film de 2014, Michael Keaton, moments de détresse, Naomi Watts, Original Screenplay, oscar, Oscarisé, Ovni, plan-séquence, pleurer, prestation époustouflante, Raymond Carver, réalisation, réalisé, réflexion, rêve, Riggan Thomson, rire, scénario, sourire, sphère cinématographique, super héros, touchante, tranche de vie, trilogie, tristesse, troublants, Zack Galifianakis.
« The Grand Budapest Hotel », I would book another room with pleasure!
Wes Anderson is a director that we can consider not well known in general until few years ago. He was more or less comparable to an “author movies”, an underground director and not in the front of the stage with some blockbuster or big budgets movies. I was quiet interesting to discover his universe even if this one seemed quite “special”, I mean that there is no average opinion, you like or you do not like. I hesitated, movies after movies, but when The Grand Budapest Hotel came up on the screen, I do not know but it inspired me, sending good vibes. So I leap the gap and I dive in the Anderson’s universe, and I really do not regret!
Let see the trailer.
The story start in the present time where we see a student girl coming close to a memorial of a writer, she is holding the Memories of this men in her arms, and we only see the name “The Author”. She starts to read the first chapter of this book, transporting us in 1985 in the office of “the Author” where he tell us the tale of one of his journey in 1968 in the Grand Budapest Hotel. This hotel is in a fictional republic named Zubrowka, situated in the Alps in Europe. The younger version of this author visiting this Grand Budapest Hotel which is the shadow of what it was in the past. At this time it doesn’t have his magnificence anymore, and the customers are rare. The Author meet the actual director of the Hotel, Zero Moustafa (F. Murray Abraham) with whom he share a diner where Zero tell him his story, how he became the director and why he do not want to sale the Hotel even if it not working well. This story start in 1932 thus we discovered the young Zero becoming the lobby boy of the Grand Budapest Hotel at this time mighty and beautiful, and the place is running by the devoted concierge Mr. Gustave H. (Ralph Fiennes).
The movie start like this and I can’t tell you more because I will spoiled too much and break the magic.
I have to admit that after this first ten minutes a little bit disconcerting, I was afraid because I wanted to know more about this story but I dreaded that I had started a movie to messy and boring. Let me explain, I speak about a disconcerting movie regarding the strange beginning acting like a reflexion in a mirror, seeing this own reflexion …etc…etc… (The student reading a book, and the author speaking about himself younger…etc…). It was quite confusing for me but then we managed to catch the train and everything is finally understandable (If you are a fan of Wes Anderson maybe it will be easier for you). After that we can enjoy the wingspan of this movie, and it is wonderful, it is really magical.
There is numerous characters, with a real working back story and depict by an incredible cast, just few names, Tilda Swinton, Harvey Keitel, Bill Murray, Owen Wilson, Mathieu Amalric, Adrien Brody, Willen Dafoe, Saoirse Ronan, Edward Norton, Léa Seydoux, Jeff Goldblum, Tony Revolori …. They are all very endearing, the lobby boy make us live a magical story, a fabled story, close to a Walt Disney movie, and the actor Tony Revolori is bluffing. However, the most impressing performance come from Ralph Fiennes as Mr. Gustave. We hate him the second he appeared on the screen, but then, we realized he has a heart, a big one underneath their concierge jacket, and moreover, his behavior is really funny and crazy. I really enjoyed that.
All those characters are gathered in this movie to get something theatrical, like a Vaudeville. Some background and camera views are sometimes like a puppet theater, or in pasteboard, and even sometimes some kinds of games of shadows. But you do not have to imagine that I described a low quality movie, it is really not the case, it is more like a wake up dream. We are dumbfounded, entertain, affected, shacked… I could going one like this for while regarding as I liked this movie.
This movie mixed easily comedy (I could say slapstick comedy) and drama. Sometimes we do not know if we have to cry or laugh, but it doesn’t matter, the purpose of a movie isn’t to instill feeling whatever they are? And it is totally successful! Wes Anderson tell us a story, or more precisely a tale, and he managed to take us so easily in his world that it is perturbing. I really recommend to see this movie because you will like it whatever your movies taste are. It is a movie for every taste without losing to provide his flavor. It is a really good job, and a big surprise that push me to see other Anderson’s movies. I give him an 18/20 well deserved.
See you soon!
Enjoy
D.A.G.
PS. Do not hesitate to let comments 😉
Cette entrée a été publiée dans Articles Anglais, Critiques cinéma, English post, Movies reviews et taguée 1932, 1932 lobby boy, 1968, 1968 Zubrowka, 1985, 1985 trip, a fairy tale, Adrien Brody, alpes, alps, amazes, amuser, art film, auteur, author, ébahit, écrans, écrivain, ému, bande annonce, Belle réussite, big budget, big heart, bill murray, blockbuster, blockbuster movie, casting, cemetery, cimetière, coat, comic burlesque, comique burlesque, concierge, cry, cœur, director, drama, drame, dreamlike, dreamlike world, Edward Norton, effet miroir, Europe, excited, F. Murray Abraham, film, film d’auteur, film maker, fun, general public, goofy, grand cœur, grand publique, Great success, gros budget, Harvey Keitel, heart, inspiration, inspirational, inspiré, Jeff Goldblum, jeux d’ombres, Jude Law, laugh, Léa Seydoux, lobby boy, loufoque, manteau, marionnette, Mathieu Amalric, monde onirique, oeuvre, onirique, Owen Wilson, pièce de théâtre, pleurer, poupées russes, producer, puppet shadow play, puppet show, Ralph Fiennes, réalisateur, rire, russian dolls mirror, saoirse ronan, screens, show, spectacle, spectacle de marionnette, théâtre, The Author, The Grand Budapest Hotel, theater, tilda swinton, Tony Revolori, trailer, troubler, un conte, underground, univers, universe, upset, Vaudeville, Vaudeville theater, voyage, Walt Disney, Wes Anderson, Willen Dafoe, Willen Dafoe Edward Norton, Work, writer, Zero Moustafa, Zubrowka.
« The Grand Budapest Hotel », un hôtel où vous adorerez séjourner !
Wes Anderson est un réalisateur que l’on peut qualifier de peu connu du grand publique jusqu’à il n’y a pas très longtemps. Il était plutôt dans la case film d’auteur et underground que blockbuster ou film à gros budget. J’étais relativement intéressé de découvrir son univers même si celui-ci paraissait assez « spécial », par là j’entends du style on aime ou on n’aime pas sans qu’il y ait de demi-mesure. J’ai hésité longtemps au vue des différents films, mais lorsque The Grand Budapest Hotel a pointé le bout de son nez sur les écrans, je ne sais pas, mais cela m’a inspiré. Le casting, l’ambiance qui s’en dégageait, je ne sais pas vraiment, mais cela m’a poussé à sauter le pas pour m’initier au monde de Wes Anderson, et je ne regrette vraiment pas.
Voyons un peu la bande annonce.
L’histoire débute dans le présent où une étudiante s’approche du monument d’un écrivain dans un cimetière et elle tiens les mémoires de ce dernier dans les bras où l’on voit seulement le nom « The Author ». Elle commence à lire le premier chapitre du livre et nous retrouvons « The Author » à son bureau en 1985 narrant l’histoire d’un voyage qu’il a réalisé en 1968 au Grand Budapest Hotel. Localisé dans une république fictive appelée Zubrowka, dans les alpes en Europe ravagée par la guerre et la pauvreté, la version plus jeune de cet écrivain (jouée par Jude Law) visite ce Grand Budapest Hotel qui n’est plus que l’ombre de ce qu’il fut autrefois. Dorénavant, il a perdu toute sa splendeur, et les clients se font rares. L’auteur rencontre le directeur de l’hôtel, Zero Moustafa (F. Murray Abraham) avec qui il partage un diner et où il raconte à l’auteur l’histoire qui l’a mené à venir à diriger un tel établissement et pourquoi il ne peut s’en séparer. L’histoire commence en 1932 et c’est ainsi que l’on découvre toute l’incroyable aventure de Zero le jeune nouveau lobby boy du Grand Budapest Hotel alors majestueux et dirigé par le dévoué concierge Monsieur Gustave H. (Ralph Fiennes).
Le film débute ainsi, et je ne peux vous en dire davantage car je révèlerai vraiment de grands instants de cette histoire. Je dois admettre qu’après ce début de film quelque peu déroutant, j’avais la peur au ventre, à la fois impatient de découvrir cet univers et redoutant de m’être lancer dans un film de 1 heures 39 qui serait sans le moindre intérêt. Je parle d’un film quelque peu déroutant car il commence de manière étrange avec une histoire raconter comme des poupées russes (ou l’effet miroir comme vous préférez), je m’explique. Une étudiante qui voit la statue d’un auteur dont elle lit le livre, puis nous voyons cet homme d’un âge avancer qui raconte sa jeunesse, le moment ou un autre homme lui raconte sa vie lorsqu’il était jeune, ainsi on remonte dans le temps et c’est désarçonnant mais on se rattrape vite. Sur l’instant je ne comprends pas tout de suite que le jeune lobby boy est en réalité le narrateur. Mais petit à petit tout se décante. Peut-être que les habitués du style de Wes Anderson sont plus rapide, mais on finit tout de même par appréhender l’envergure de l’Œuvre, et celle-ci est magnifique.
Les personnages sont nombreux, et représentés par un casting incroyable, rien que pour citer quelques noms, Tilda Swinton, Harvey Keitel, Bill Murray, Owen Wilson, Mathieu Amalric, Adrien Brody, Willen Dafoe, Saoirse Ronan, Edward Norton, Léa Seydoux, Jeff Goldblum, Tony Revolori …. Ils sont tous très attachant, le lobby boy nous fait vivre une histoire fabuleuse, à la limite du compte de Walt Disney, et l’acteur Tony Revolori est bluffant. Toutefois, le plus impressionnant est l’acteur Ralph Fiennes dans le rôle de Monsieur Gustave. On le déteste dans l’instant puis on s’y attache tant il est loufoque, on se rend compte qu’il n’est pas si mauvais au final et qu’un grand cœur se cache sous ce manteau de concierge.
Tous ces personnages sont mis en place dans un film qui s’apparente à un vaudeville. On se demande si on ne regarde pas une pièce de théâtre, puis à d’autres moments des plans sont comparables à un spectacle de marionnette ou l’on a l’impression que tout est en carton pate. Il y a même comme des jeux d’ombres. On pourrait croire que cela fais de ce film une réalisation de bas étage et à petit budget lorsque l’on lit ce que je viens d’écrire, mais il n’en est rien, cela fais rêver, on a l’impression de se trouver dans un monde onirique. On est ébahit, amuser, ému, troubler et je pourrai continuer comme ça longtemps tant j’ai aimé ce film 😉
Le film mélange aisément le comique burlesque et le drame, des fois on ne sait pas si l’on doit rire ou pleurer, mais peu importe, le but d’un film n’est-il pas d’insuffler des sentiments quel qu’ils-soient ? Et c’est totalement réussi. Wes Anderson nous raconte une histoire, ou plutôt un conte, et il parvient à nous transporter avec une telle facilitée que ça en est troublant. Je conseil de voir ce film car il vous plaira quel que soit vos goûts cinématographique. C’est un film pour tous les goûts sans qu’il perde pour autant sa saveur. Belle réussite, et belle surprise qui m’a donnée envie de voir le reste de ses films. Un 18/20 bien mérite.
A bientôt !
Enjoy
D.A.G.
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Événement !
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Bonjour à tous !
Nouvel article ce soir comme d’habitude à 17h30 sur mon blog (sur quoi ? Surprise ;)), mais si vous avez déjà une petite envie de lecture vous pouvez retrouver un article inédit de votre serviteur sur le site CommentFaireUnFilm.com !
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