ennio morricone
Luke Cage (saison 1), troisième Defender à pointer le bout de ses poings ! Avec le groove s’il vous plaît !
Marvel’s Luke Cage est la troisième série de l’univers Marvel proposée par Netflix après les deux saisons de Daredevil et celle de Jessica Jones. Oui, je sais, c’est une critique exclusive, personne n’a encore vu la série 😉 Ok, je sais, je suis un peu en retard lol Sachant que j’ai quasi fini Iron Fist, il était temps que je publie ma critique de ce bon vieux Luke… la publier après les Defenders n’aurait pas été très sérieux de ma part 😉 lol
Bref, ce qui compte c’est que ma chronique arrive, mais avant toutes choses, des images !!!
Que dire lorsque Tarantino nous dépeint 8 Salopards si ce n’est qu’on aime ça :)
Un peu de cinéma aujourd’hui, mais surtout de l’hémoglobine 😀 avec Les 8 Salopards (ou The Hateful Eight pour les intimes 😉 ) de Quentin Tarantino sorti le 6 Janvier dernier en France.
Un petit avant-goût de ce nouveau Western Tarantinien 😉
Première « Review Cinéma » avec Django Unchained !
Pour ce premier article cinématographique, nous allons parler un peu tarantinesque :p
Grand fan de Mr. Tarantino, j’ai tous ces films à mon actif et généralement je fonce toujours les voir dès leur sortie au cinéma. Le weekend dernier nous avons, ma chérie et moi, regardé Django Unchained qu’elle n’avait pas voulu aller voir et que j’avais vu seul. Mais cette fois-ci, je suis parvenu à la résonner et nous avons regardé le fameux western de Tarantino.
Résultat des courses, elle a adorée ! Et il y a de quoi !
Le synopsis est relativement simple, il faut l’admettre, comme dans tout Tarantino. Toutefois, il se démarque de bon nombre de cinéaste par sa façon de réaliser, ses textes et ses personnages.
Donc, expliquons d’abord l’histoire.
Libéré de l’esclavage par le Dr. King Schultz (Christoph Waltz), dentiste et chasseur de primes (on trouve ça uniquement chez Tarantino), l’esclave Django (Jamie Foxx) devient Django Freeman. Dans un premier temps libéré de ses chaines pour aider le Doc à retrouver des hors la loi dont seul Django connait le visage, le Dr. Se prend d’affection pour lui et décide de l’aider lorsqu’il en apprend un peu plus sur le passé de l’ex-esclave. Après l’avoir entrainé pour devenir un chasseur de primes d’exception, ils partent tous les deux à la recherche de Broomhilda la femme de Django qui est l’esclave de Calvin Candie (Leonardo Dicaprio). S’en suit des tueries à gogo, des litres de sang, une tonne d’humour noir et des discussions abracadabrantesques comme sait si bien les faires Tarantino.
Premier western de Tarantino comme je l’ai dit plus haut, et je dois admettre qu’il est particulièrement réussi avec en plus quelques musiques composées par Mr. Ennio Morricone himself !
La réalisation est propre, léchée, on retrouve des mouvements de caméra digne des meilleurs westerns spaghettis (avec le bon la brute et le truand en tête), ainsi que des restes de ces derniers films. Comme d’habitude, chacune de ces productions sont liées, marquant la suivante, avec notamment ici une manière de filmer qui m’a rappelé énormément Kill Bill 1 et 2 avec un style proche des affrontements des vieux films de kung-fu dont il s’était très ouvertement inspiré pour les Kill Bill. Mais dans ce cas présente, avec des pistolets :p
Toutefois, cela ne gêne pas du tout car c’est du Tarantino.
Viens ensuite les décors, magnifique tout simplement. J’avoue avoir été bluffé, c’est digne d’un Into The Wild je trouve. Des décors et prises de vue qui sont sans hésiter les plus belles de tous les films de Tarantino. Même si ce n’est pas la partie la plus importante du film, il marque une grosse évolution par rapport à ses anciennes productions.
Bien entendu, le stock d’hémoglobine est là, comme dans tout Tarantino. Django suis la tendance lancé avec la série Kill Bill, Boulevard de la mort, ou encore Inglourious Bastards avec du sang à gogo, mais cela ne gêne pas. Il y en a tellement que cela ne fait que créer un moment de rigolade pour tout le monde plus qu’un sentiment de dégoût 😀
Et pour finir, le plus important, le plus impressionnant, les personnages. A mes yeux, ce que réussi chaque fois avec brio Tarantino est de créer autant des personnages « gentil » et « méchant » que l’on adore dès la première seconde.
Le Dr. est joué divinement par Waltz avec un raffinement et une prestance tout aussi incroyable que Hans Landa dans Inglourious Basterds. Il fait un travail qui pourrait nous rebuter, mais on sent aussi la solitude et le cœur que possède le personnage, ce qui le pousse d’ailleurs à prendre Django sous son aile, mais aussi le fait qu’il est tout à fait conscient de faire un travail atroce qui doit malgré tout être fait. On l’adore dès la première seconde où l’on voit la dent de sa carriole arriver en dodelinant dans la nuit noire.
Django est un personnage qui créer immédiatement une empathie, déjà face à son statut d’esclave qui a clairement souffert, mais aussi en découvrant son histoire. Au début réservé, il se révèle petit à petit. Il présente au final le charisme d’un Clint Eastwood croisé avec un James Brown. Il nous fait rêver et se présente comme un héros attachant.
Leonardo Dicaprio (Calvin Candie) se révèle totalement dans ce film. Les derniers auquels il a participé été impressionnant, ça je ne le remets pas en doute (arrête mois si tu peux, inception…) mais en méchant, là je dis OUI ! Je n’étais franchement pas emballé à l’idée qu’il soit le méchant de ce film, toutefois après avoir goûté à sa prestation, je n’en revenais pas. Il arbore un regard et présente une attitude diabolique, et vire à la limite du regard d’un fou dans la deuxième partie du film. C’est une présentation où je lui donne 20/20. Je trouve qu’il égale la prestation de Waltz dans les Basterds. Un bad guy que j’ai adoré détesté !
Je sais, je les présentes tous comme des acteurs à prestation exceptionnel, mais c’est bien le cas. Je pense que personne ne s’y attendait, et tout le monde a été bluffé.
Cependant, le must du must, la cerise sur le gâteau est sans hésitation Samuel L. Jackson. Un grand monsieur que cet acteur. Je l’ai adoré dans tant de films, Die Hard 3, Pulp Fiction, tous les Marvels ou encore Jackie Brown pour ne citer que ceux-là. Par contre, en tant que Stephen, le serviteur noir de Calvin Candie, il m’a bluffé autant que choqué ! Il est tout d’abord limite méconnaissable. Il est grimé d’une façon où on pourrait croire facilement qu’il a 90 ans. Ses traits marqués intensifient un côté tout simplement mauvais, et son accent travaillé à l’extrême est époustouflant en VO. Il incarne un ignoble chef des majors d’homme. Et j’ai adoré !!!! Une prestation d’acteur a coupé le souffle. Si je dois choisir un personnage et un acteur dans ce film c’est sans hésiter que je choisi Stephen/Samuel L. Jackson comme le plus époustouflant. Un des meilleurs « ignoble » que j’ai pu voir dans un film. Je dis chapeau l’artiste !
Bref, un film exceptionnel, parmi les plus réussi de tous les films que Tarantino ai réalisé, et cela va être très très dur de faire mieux pour le prochain. Mais bon, Tarantino a toujours sus nous étonner 😉 Et maintenant que la nouvelle est tombée comme quoi il n’aurait finalement pas définitivement abandonné son prochain western The Hateful Eight, je ne peux que trépigner d’impatience !
Je conseille donc vivement ce film qui est une réussite total. Il pourra plaire aux fans de westerns, films d’action, d’aventures, ou encore d’hémoglobine. Je trouve qu’il y en a pour tous les goûts et que c’est un coup de maître. Voilà pourquoi je lui octroie un 19/20 bien mérité.
Django Unchained, un film à voir et revoir sans hésiter !
D.A.G.
Événement !
Publié le Mis à jour le
Bonjour à tous !
Nouvel article ce soir comme d’habitude à 17h30 sur mon blog (sur quoi ? Surprise ;)), mais si vous avez déjà une petite envie de lecture vous pouvez retrouver un article inédit de votre serviteur sur le site CommentFaireUnFilm.com !
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