réalisateur

Clive Barker offre de l’horreur avec son Livre De Sang (Tome 1), mais pas trop quand même…

Publié le Mis à jour le

Revenons un peu vers les livres pour cet article avec ma critique de mon tout premier livre de Clive Barker – que l’on ne présente plus (mais que je présenterais un peu après quand même 😉 ) – intitulé « Livre de Sang (Tome 1) » ! Même pas peur :p

Lire la suite »

Mad Max Fury Road une route qu’il ne faut pas avoir peur de parcourir !

Publié le Mis à jour le

La semaine dernière je vous ai parlé de la fête du cinéma et que j’avais vu pour cette occasion deux film, le premier étant Jurassic World dont vous pouvez retrouver ma chronique ici , et voici donc pour cette article la review du deuxième film qui n’est autre que Mad Max Fury Road !!!

215297

Très très réservé dans un premier temps car grand fan de la première trilogie avec Mel Gibson, je n’étais vraiment pas chaud pour aller voir ce film. Toutefois, à force de lire des critiques dithyrambiques sur ce nouveau film j’ai jeté un œil à la bande annonce qui était très sympa. Puis, un soir, l’un de mes amis (fan lui aussi) à parler d’aller voir le film pour la fête du cinéma et c’est comme ça que tout est arrivé, je suis devenu fan de ce reboot de Mad Max et comme son nom l’indique, c’est un film de furieux !!!! Voici la bande annonce 😉


Lire la suite »

Jurassic World un bon petit film à croquer :)

Publié le

Il y a peu de temps a eu lieu la fête du cinéma, un événement auquel je n’avais pas participé par manque de temps mais aussi du fait que je n’étais pas en France :p Donc cette fois-ci j’ai décidé d’en profiter car il y avait deux films assez intéressant en commençant par Jurassic World !!!!!

jworld-banner-44

Un film à la fois intéressant mais dangereux (pas pour les dinosaures lol) car sur les trois ayant vu le jour avant, seul le premier valait vraiment le coup il faut l’avouer. Il était bien fait, novateur et il faut le reconnaitre, il a très bien vieilli.
Voyons donc la bande annonce de ce Jurassic World !


Lire la suite »

Ben Stiller réussit à nous émouvoir, nous faire rire et surtout nous faire rêver avec La Vie Rêvée de Walter Mitty.

Publié le Mis à jour le

14844_fr_la_vie_revee_de_walter_mitty_1387810407106

Un film étonnant, adaptation de la nouvelle The Secret Life of Walter Mitty de James Thurber, avec et réalisé par Ben Stiller. Après avoir réalisé Zoolander et Tonnerre sous les tropiques, deux films assez spéciaux et à l’humour plus que particulier, Ben Stiller nous revient en 2013 en réalisant un coup impressionnant avec ce film. Une comédie dramatique fantastique, qui l’aurait cru ? Pas moi. Mais je suis le premier à admettre que mes réticences à voir ce film dans un premier temps étaient une erreur. A force d’en entendre parler et après avoir vu la bande annonce je n’ai pu résister à tester cette ovnis et quelle claque.
Magnifique et bluffant, voyez par vous-même avec la bande annonce.


Lire la suite »

Supercondriaque fait bien rire pour malheureusement nous faire frôler la nausée sur la fin

Publié le Mis à jour le

Ça manque un peu de film français sur ce blog non ? On est d’accord, donc je vais vous présenter le dernier film de Dany Boon, Supercondriaque.

supercondriaque

Nouvelle production du comique/scénariste/acteur/producteur/réalisateur après Bienvenue chez les Ch’tis et Rien à déclarer. Un avant-gout ? Aller la bande annonce 😉


Lire la suite »

« Blood Omen : Legacy of Kain » un jeu vidéo laissant un très bon goût en bouche !

Publié le Mis à jour le

J’ai un petit aveu à vous faire… vous aurez du mal à y croire je m’en doute mais vous devez savoir qu’avant d’être passionné de musique, de cinéma et d’écriture, j’étais un fan incontesté de jeux vidéos. Je vous assure que c’est vrai et j’ai bien 300 jeux finis à mon actif. C’est de cette façon que j’ai commencé à aimer les histoires, l’écriture, la création et c’est une de mes premières sources d’inspiration.
Beaucoup m’ont marqués, et je tenais à rendre un petit « hommage » à l’un d’entre eux, « Blood Omen : Legacy of Kain », un jeu culte de l’époque de la playstation 1 et encore aujourd’hui peu de jeux peuvent se vanter de fournir un univers si fournis et passionnant ! Oui je l’aime toujours et ça se sent 😉
Vous pouvez voir la pochette ci-dessous.

Blood_Omen_-_Legacy_of_Kain_Coverart

Sorti sur Playstation en 1996 (j’avais treize ans à ce moment-là, ça ne rajeunit pas hein ? 😉 ), ce jeu m’a fait adorer les vampires ! 🙂 Premier jeu d’une saga ayant entrainé de nombreuses suites (pas toujours très bonne), il reste de loin le meilleur à mes yeux.

14425-blood-omen-legacy-of-kain-windows-screenshot-my-liars371985-kainwil

Ce jeu prend place dans le royaume de Nosgoth dirigé par un Cercle des Neuf, gardiens des neuf piliers au centre du monde. Chaque pilier, et donc chaque gardien, représente un grand principe élémentaire, comme le temps ou la mort. Un jour, Ariel, gardienne du pilier de l’Équilibre, est assassinée; cette mort déclenchera alors une série d’événements poussant Nosgoth vers sa fin. À cette époque, Kain est un jeune noble et un soir, alors qu’un aubergiste lui refuse le gîte, il est sauvagement assassiné par une horde de brigands. Son histoire aurait pu s’arrêter là, mais Mortanius le Nécromancien (un membre du Cercle des Neuf) lui offre la chance de se venger, en le ressuscitant sous la forme de vampire. C’est ainsi que Kain se met en chasse de ceux qui l’ont assassiné, écumant le royaume sous sa nouvelle forme, assoiffé de sang… et de vengeance. Sa quête le mènera à être impliqué dans le destin même du monde et combattre la corruption du cercle des neuf. Trouver la vérité sur son assassinat et sur les sources de la perversion du royaume lui permettra de trouver les responsables de la mort d’Ariel mais surtout ceux qui tentent de mener le monde de Nosgoth à sa perte.
Voici quelques extraits.

Partant d’un postulat assez simple (vengeance, rédemption etc…) Legacy of Kain s’est avéré bien plus profond et réfléchit qu’il n’en avait l’aire. Le héros ou plutôt anti-héros devient très vite attachant, et même s’il doit tuer les villageois pour se nourrir et survivre (et oui vampirisme oblige :p), sa quête devient celle qui permettra de sauver ce monde décadent. Un monde où le vampire est au final dépeint comme un être sage, juste et érudit, comparé à l’humain sauvage et sans scrupule.

banner_906blood-omen-legacy-of-kain-002

Blood Omen Legacy of Kain premier du nom regroupe de nombreux points positifs. Concernant le design, celui-ci n’était pas pousser vers la beauté de la 3D, ils ne cherchaient pas à éblouir. Ils choisirent d’offrir une 2D raffiné et esthétique, n’entachant en rien le plaisir et la qualité de jeu. Il est vrai que les scènes cinématiques ne payent pas de mine, mais croyez-moi qu’à l’époque c’était une vrai claque ! Et très franchement je trouve que cela n’a pas trop mal vieillit 🙂
Les personnages avaient été soignés, chacun ayant leur propre histoire que l’on prenait plaisir à découvrir, comme Malek le paladin tueur de vampire qui finit par être maudit et prisonnier de son armure, ou encore Vorador l’un des premiers vampires de Nosgoth. Un vrai bonheur !
L’un des points qui m’avait surpris fut la réalité mise en place, par là je veux dire l’application des cycles jours et nuits, changeant dans certains cas le déroulement du jeu. Des portes étaient fermées la nuit, d’autres ouvertes lorsqu’il y avait des pleines lunes. Un souci du détail rare à l’époque, offrant une profondeur et un réalisme accrocheur.
Et pour fini l’un des points les plus important de ce Legacy of Kain, l’ambiance. Les développeurs ont offert à ce jeu une ambiance gothique, vampirique et sombre qui vous plonge dans les aventures de Kain avec une facilitée époustouflante. Un travail qui je pense à rarement été égalé.
La bande son avait été soigneusement réalisée pour être oppressante lorsqu’il le fallait, ou encore poétique, triste. Je me souviens encore laisser le personnage sans bougé durant certains moment de l’histoire afin d’écouter la musique tournée.


(ce n’est qu’un petit exemple il y en a plein d’autres que vous pouvez trouver sur Youtube)

En dépit des années ce jeu me reste en tête comme un bon film ou un bon livre ne subissant pas les épreuves du temps. Le fait est que je ne lui ai jamais trouvé le moindre point négatif et c’est toujours le cas aujourd’hui. La seule erreur fut de lui donner des suites :p Le deuxième épisode peut être considéré comme sympa (Legacy of Kain : Soul Reaver) malheureusement à partir du troisième ce fut catastrophique. Ils se sont embourbés dans des histoires de voyages dans le temps et autre malencontreuses idées perdant les joueurs au passage.
Malgré c’est erreurs réalisées par la suite, j’espère encore aujourd’hui que quelqu’un se réveil et donne une réédition, une suite, un remake ou je ne sais quoi sur les supports actuels, car il y aurait matière à réaliser un hit sans le moindre doute. Et soyons fou, pourquoi pas un film ? Avec un réalisateur de qualité, tout peut être possible !!! (Ils continuent bien à faire des Resident Evil sans intérêt…)
A mes yeux Blood Omen : Legacy of Kain vaut un 20/20 total et sans discuter ! Si vous pouvez vous procurer un émulateur pour playstation 1 n’hésitez surtout pas à jouer à ce jeu !!!!

Enjoy !
A bientôt !
Desmond Andrew Green

blood-omen-legacy-of-kain-005p

« The Grand Budapest Hotel », I would book another room with pleasure!

Publié le

Wes Anderson is a director that we can consider not well known in general until few years ago. He was more or less comparable to an “author movies”, an underground director and not in the front of the stage with some blockbuster or big budgets movies. I was quiet interesting to discover his universe even if this one seemed quite “special”, I mean that there is no average opinion, you like or you do not like. I hesitated, movies after movies, but when The Grand Budapest Hotel came up on the screen, I do not know but it inspired me, sending good vibes. So I leap the gap and I dive in the Anderson’s universe, and I really do not regret!
Let see the trailer.

The story start in the present time where we see a student girl coming close to a memorial of a writer, she is holding the Memories of this men in her arms, and we only see the name “The Author”. She starts to read the first chapter of this book, transporting us in 1985 in the office of “the Author” where he tell us the tale of one of his journey in 1968 in the Grand Budapest Hotel. This hotel is in a fictional republic named Zubrowka, situated in the Alps in Europe. The younger version of this author visiting this Grand Budapest Hotel which is the shadow of what it was in the past. At this time it doesn’t have his magnificence anymore, and the customers are rare. The Author meet the actual director of the Hotel, Zero Moustafa (F. Murray Abraham) with whom he share a diner where Zero tell him his story, how he became the director and why he do not want to sale the Hotel even if it not working well. This story start in 1932 thus we discovered the young Zero becoming the lobby boy of the Grand Budapest Hotel at this time mighty and beautiful, and the place is running by the devoted concierge Mr. Gustave H. (Ralph Fiennes).
The movie start like this and I can’t tell you more because I will spoiled too much and break the magic.

the-grand-budapest-hotel-photothe-grand-budapest-hotel-adrien-brody-willem-dafoe

I have to admit that after this first ten minutes a little bit disconcerting, I was afraid because I wanted to know more about this story but I dreaded that I had started a movie to messy and boring. Let me explain, I speak about a disconcerting movie regarding the strange beginning acting like a reflexion in a mirror, seeing this own reflexion …etc…etc… (The student reading a book, and the author speaking about himself younger…etc…). It was quite confusing for me but then we managed to catch the train and everything is finally understandable (If you are a fan of Wes Anderson maybe it will be easier for you). After that we can enjoy the wingspan of this movie, and it is wonderful, it is really magical.

thegrandbudapesthotel2hqdefault

There is numerous characters, with a real working back story and depict by an incredible cast, just few names, Tilda Swinton, Harvey Keitel, Bill Murray, Owen Wilson, Mathieu Amalric, Adrien Brody, Willen Dafoe, Saoirse Ronan, Edward Norton, Léa Seydoux, Jeff Goldblum, Tony Revolori …. They are all very endearing, the lobby boy make us live a magical story, a fabled story, close to a Walt Disney movie, and the actor Tony Revolori is bluffing. However, the most impressing performance come from Ralph Fiennes as Mr. Gustave. We hate him the second he appeared on the screen, but then, we realized he has a heart, a big one underneath their concierge jacket, and moreover, his behavior is really funny and crazy. I really enjoyed that.
All those characters are gathered in this movie to get something theatrical, like a Vaudeville. Some background and camera views are sometimes like a puppet theater, or in pasteboard, and even sometimes some kinds of games of shadows. But you do not have to imagine that I described a low quality movie, it is really not the case, it is more like a wake up dream. We are dumbfounded, entertain, affected, shacked… I could going one like this for while regarding as I liked this movie.

budapesthtelCatGrand-Budapest-Fiennes-Revolori

This movie mixed easily comedy (I could say slapstick comedy) and drama. Sometimes we do not know if we have to cry or laugh, but it doesn’t matter, the purpose of a movie isn’t to instill feeling whatever they are? And it is totally successful! Wes Anderson tell us a story, or more precisely a tale, and he managed to take us so easily in his world that it is perturbing. I really recommend to see this movie because you will like it whatever your movies taste are. It is a movie for every taste without losing to provide his flavor. It is a really good job, and a big surprise that push me to see other Anderson’s movies. I give him an 18/20 well deserved.

See you soon!
Enjoy

D.A.G.

PS. Do not hesitate to let comments 😉

1011529_fr_the_grand_budapest_hotel_1390997345553

« The Grand Budapest Hotel », un hôtel où vous adorerez séjourner !

Publié le Mis à jour le

Wes Anderson est un réalisateur que l’on peut qualifier de peu connu du grand publique jusqu’à il n’y a pas très longtemps. Il était plutôt dans la case film d’auteur et underground que blockbuster ou film à gros budget. J’étais relativement intéressé de découvrir son univers même si celui-ci paraissait assez « spécial », par là j’entends du style on aime ou on n’aime pas sans qu’il y ait de demi-mesure. J’ai hésité longtemps au vue des différents films, mais lorsque The Grand Budapest Hotel a pointé le bout de son nez sur les écrans, je ne sais pas, mais cela m’a inspiré. Le casting, l’ambiance qui s’en dégageait, je ne sais pas vraiment, mais cela m’a poussé à sauter le pas pour m’initier au monde de Wes Anderson, et je ne regrette vraiment pas.

Voyons un peu la bande annonce.

L’histoire débute dans le présent où une étudiante s’approche du monument d’un écrivain dans un cimetière et elle tiens les mémoires de ce dernier dans les bras où l’on voit seulement le nom « The Author ». Elle commence à lire le premier chapitre du livre et nous retrouvons « The Author » à son bureau en 1985 narrant l’histoire d’un voyage qu’il a réalisé en 1968 au Grand Budapest Hotel. Localisé dans une république fictive appelée Zubrowka, dans les alpes en Europe ravagée par la guerre et la pauvreté, la version plus jeune de cet écrivain (jouée par Jude Law) visite ce Grand Budapest Hotel qui n’est plus que l’ombre de ce qu’il fut autrefois. Dorénavant, il a perdu toute sa splendeur, et les clients se font rares. L’auteur rencontre le directeur de l’hôtel, Zero Moustafa (F. Murray Abraham) avec qui il partage un diner et où il raconte à l’auteur l’histoire qui l’a mené à venir à diriger un tel établissement et pourquoi il ne peut s’en séparer. L’histoire commence en 1932 et c’est ainsi que l’on découvre toute l’incroyable aventure de Zero le jeune nouveau lobby boy du Grand Budapest Hotel alors majestueux et dirigé par le dévoué concierge Monsieur Gustave H. (Ralph Fiennes).

1011529_fr_the_grand_budapest_hotel_1390997345553

Le film débute ainsi, et je ne peux vous en dire davantage car je révèlerai vraiment de grands instants de cette histoire. Je dois admettre qu’après ce début de film quelque peu déroutant, j’avais la peur au ventre, à la fois impatient de découvrir cet univers et redoutant de m’être lancer dans un film de 1 heures 39 qui serait sans le moindre intérêt. Je parle d’un film quelque peu déroutant car il commence de manière étrange avec une histoire raconter comme des poupées russes (ou l’effet miroir comme vous préférez), je m’explique. Une étudiante qui voit la statue d’un auteur dont elle lit le livre, puis nous voyons cet homme d’un âge avancer qui raconte sa jeunesse, le moment ou un autre homme lui raconte sa vie lorsqu’il était jeune, ainsi on remonte dans le temps et c’est désarçonnant mais on se rattrape vite. Sur l’instant je ne comprends pas tout de suite que le jeune lobby boy est en réalité le narrateur. Mais petit à petit tout se décante. Peut-être que les habitués du style de Wes Anderson sont plus rapide, mais on finit tout de même par appréhender l’envergure de l’Œuvre, et celle-ci est magnifique.

budapesthtelCatGrand-Budapest-Fiennes-Revolori

Les personnages sont nombreux, et représentés par un casting incroyable, rien que pour citer quelques noms, Tilda Swinton, Harvey Keitel, Bill Murray, Owen Wilson, Mathieu Amalric, Adrien Brody, Willen Dafoe, Saoirse Ronan, Edward Norton, Léa Seydoux, Jeff Goldblum, Tony Revolori …. Ils sont tous très attachant, le lobby boy nous fait vivre une histoire fabuleuse, à la limite du compte de Walt Disney, et l’acteur Tony Revolori est bluffant. Toutefois, le plus impressionnant est l’acteur Ralph Fiennes dans le rôle de Monsieur Gustave. On le déteste dans l’instant puis on s’y attache tant il est loufoque, on se rend compte qu’il n’est pas si mauvais au final et qu’un grand cœur se cache sous ce manteau de concierge.

hqdefaultthegrandbudapesthotel2

Tous ces personnages sont mis en place dans un film qui s’apparente à un vaudeville. On se demande si on ne regarde pas une pièce de théâtre, puis à d’autres moments des plans sont comparables à un spectacle de marionnette ou l’on a l’impression que tout est en carton pate. Il y a même comme des jeux d’ombres. On pourrait croire que cela fais de ce film une réalisation de bas étage et à petit budget lorsque l’on lit ce que je viens d’écrire, mais il n’en est rien, cela fais rêver, on a l’impression de se trouver dans un monde onirique. On est ébahit, amuser, ému, troubler et je pourrai continuer comme ça longtemps tant j’ai aimé ce film 😉

the-grand-budapest-hotel-adrien-brody-willem-dafoe

Le film mélange aisément le comique burlesque et le drame, des fois on ne sait pas si l’on doit rire ou pleurer, mais peu importe, le but d’un film n’est-il pas d’insuffler des sentiments quel qu’ils-soient ? Et c’est totalement réussi. Wes Anderson nous raconte une histoire, ou plutôt un conte, et il parvient à nous transporter avec une telle facilitée que ça en est troublant. Je conseil de voir ce film car il vous plaira quel que soit vos goûts cinématographique. C’est un film pour tous les goûts sans qu’il perde pour autant sa saveur. Belle réussite, et belle surprise qui m’a donnée envie de voir le reste de ses films. Un 18/20 bien mérite.

A bientôt !
Enjoy
D.A.G.

the-grand-budapest-hotel-photo