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The Flash (Saison 3), Barry court toujours aussi vite mais il n’est pas loin de se prendre les pieds dans le tapis.

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Nouvel article série tv sur la troisième saison de The Flash sur la CW !
Oui, je sais, je suis un peu en retard, mais que voulez-vous, avec tellement de séries et de choses à chroniquer j’en oublie des fois les classiques :p Mais je finis toujours par rattraper le retard 🙂
Barry continu ses aventures, tentant toujours désespérément de réparer ses erreurs sans pour autant éviter d’en créer d’autres pour notre plus grand plaisir 🙂

Des images pour le récap 😉

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The Flash confirme sa place de leader de l’univers DC de la CW, à une vitesse fulgurante !!!!

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L’enchainement des articles d’Arrow et Flash cette année me rappellent un peu l’année dernière. La chute de l’un, et la réussite de l’autre :p
Parlons donc un peu de cette deuxième fournée de The Flash !
(Besoin d’un rappel ? Vous pouvez retrouver les anciens articles pour les saison 3 et 4 d’Arrow et pour la saison 1 de The Flash)

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Bande annonce pour se remettre dans l’histoire !


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L’univers DC de la CW s’agrandit avec la saison 1 de The Flash, une série de qualité que l’on n’avait pas vu arriver !

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La semaine dernière je vous ai parlé de mon ressenti, plus que négatif il est vrai, sur la saison 3 de The Arrow (vous pouvez retrouver l’article ici), toutefois, pour ce nouvel article, le ton va très nettement changer, car je vais vous parler de la première saison de The Flash !!!

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Voici la bande annonce de la saison 1.


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« The Grand Budapest Hotel », I would book another room with pleasure!

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Wes Anderson is a director that we can consider not well known in general until few years ago. He was more or less comparable to an “author movies”, an underground director and not in the front of the stage with some blockbuster or big budgets movies. I was quiet interesting to discover his universe even if this one seemed quite “special”, I mean that there is no average opinion, you like or you do not like. I hesitated, movies after movies, but when The Grand Budapest Hotel came up on the screen, I do not know but it inspired me, sending good vibes. So I leap the gap and I dive in the Anderson’s universe, and I really do not regret!
Let see the trailer.

The story start in the present time where we see a student girl coming close to a memorial of a writer, she is holding the Memories of this men in her arms, and we only see the name “The Author”. She starts to read the first chapter of this book, transporting us in 1985 in the office of “the Author” where he tell us the tale of one of his journey in 1968 in the Grand Budapest Hotel. This hotel is in a fictional republic named Zubrowka, situated in the Alps in Europe. The younger version of this author visiting this Grand Budapest Hotel which is the shadow of what it was in the past. At this time it doesn’t have his magnificence anymore, and the customers are rare. The Author meet the actual director of the Hotel, Zero Moustafa (F. Murray Abraham) with whom he share a diner where Zero tell him his story, how he became the director and why he do not want to sale the Hotel even if it not working well. This story start in 1932 thus we discovered the young Zero becoming the lobby boy of the Grand Budapest Hotel at this time mighty and beautiful, and the place is running by the devoted concierge Mr. Gustave H. (Ralph Fiennes).
The movie start like this and I can’t tell you more because I will spoiled too much and break the magic.

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I have to admit that after this first ten minutes a little bit disconcerting, I was afraid because I wanted to know more about this story but I dreaded that I had started a movie to messy and boring. Let me explain, I speak about a disconcerting movie regarding the strange beginning acting like a reflexion in a mirror, seeing this own reflexion …etc…etc… (The student reading a book, and the author speaking about himself younger…etc…). It was quite confusing for me but then we managed to catch the train and everything is finally understandable (If you are a fan of Wes Anderson maybe it will be easier for you). After that we can enjoy the wingspan of this movie, and it is wonderful, it is really magical.

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There is numerous characters, with a real working back story and depict by an incredible cast, just few names, Tilda Swinton, Harvey Keitel, Bill Murray, Owen Wilson, Mathieu Amalric, Adrien Brody, Willen Dafoe, Saoirse Ronan, Edward Norton, Léa Seydoux, Jeff Goldblum, Tony Revolori …. They are all very endearing, the lobby boy make us live a magical story, a fabled story, close to a Walt Disney movie, and the actor Tony Revolori is bluffing. However, the most impressing performance come from Ralph Fiennes as Mr. Gustave. We hate him the second he appeared on the screen, but then, we realized he has a heart, a big one underneath their concierge jacket, and moreover, his behavior is really funny and crazy. I really enjoyed that.
All those characters are gathered in this movie to get something theatrical, like a Vaudeville. Some background and camera views are sometimes like a puppet theater, or in pasteboard, and even sometimes some kinds of games of shadows. But you do not have to imagine that I described a low quality movie, it is really not the case, it is more like a wake up dream. We are dumbfounded, entertain, affected, shacked… I could going one like this for while regarding as I liked this movie.

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This movie mixed easily comedy (I could say slapstick comedy) and drama. Sometimes we do not know if we have to cry or laugh, but it doesn’t matter, the purpose of a movie isn’t to instill feeling whatever they are? And it is totally successful! Wes Anderson tell us a story, or more precisely a tale, and he managed to take us so easily in his world that it is perturbing. I really recommend to see this movie because you will like it whatever your movies taste are. It is a movie for every taste without losing to provide his flavor. It is a really good job, and a big surprise that push me to see other Anderson’s movies. I give him an 18/20 well deserved.

See you soon!
Enjoy

D.A.G.

PS. Do not hesitate to let comments 😉

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« The Grand Budapest Hotel », un hôtel où vous adorerez séjourner !

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Wes Anderson est un réalisateur que l’on peut qualifier de peu connu du grand publique jusqu’à il n’y a pas très longtemps. Il était plutôt dans la case film d’auteur et underground que blockbuster ou film à gros budget. J’étais relativement intéressé de découvrir son univers même si celui-ci paraissait assez « spécial », par là j’entends du style on aime ou on n’aime pas sans qu’il y ait de demi-mesure. J’ai hésité longtemps au vue des différents films, mais lorsque The Grand Budapest Hotel a pointé le bout de son nez sur les écrans, je ne sais pas, mais cela m’a inspiré. Le casting, l’ambiance qui s’en dégageait, je ne sais pas vraiment, mais cela m’a poussé à sauter le pas pour m’initier au monde de Wes Anderson, et je ne regrette vraiment pas.

Voyons un peu la bande annonce.

L’histoire débute dans le présent où une étudiante s’approche du monument d’un écrivain dans un cimetière et elle tiens les mémoires de ce dernier dans les bras où l’on voit seulement le nom « The Author ». Elle commence à lire le premier chapitre du livre et nous retrouvons « The Author » à son bureau en 1985 narrant l’histoire d’un voyage qu’il a réalisé en 1968 au Grand Budapest Hotel. Localisé dans une république fictive appelée Zubrowka, dans les alpes en Europe ravagée par la guerre et la pauvreté, la version plus jeune de cet écrivain (jouée par Jude Law) visite ce Grand Budapest Hotel qui n’est plus que l’ombre de ce qu’il fut autrefois. Dorénavant, il a perdu toute sa splendeur, et les clients se font rares. L’auteur rencontre le directeur de l’hôtel, Zero Moustafa (F. Murray Abraham) avec qui il partage un diner et où il raconte à l’auteur l’histoire qui l’a mené à venir à diriger un tel établissement et pourquoi il ne peut s’en séparer. L’histoire commence en 1932 et c’est ainsi que l’on découvre toute l’incroyable aventure de Zero le jeune nouveau lobby boy du Grand Budapest Hotel alors majestueux et dirigé par le dévoué concierge Monsieur Gustave H. (Ralph Fiennes).

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Le film débute ainsi, et je ne peux vous en dire davantage car je révèlerai vraiment de grands instants de cette histoire. Je dois admettre qu’après ce début de film quelque peu déroutant, j’avais la peur au ventre, à la fois impatient de découvrir cet univers et redoutant de m’être lancer dans un film de 1 heures 39 qui serait sans le moindre intérêt. Je parle d’un film quelque peu déroutant car il commence de manière étrange avec une histoire raconter comme des poupées russes (ou l’effet miroir comme vous préférez), je m’explique. Une étudiante qui voit la statue d’un auteur dont elle lit le livre, puis nous voyons cet homme d’un âge avancer qui raconte sa jeunesse, le moment ou un autre homme lui raconte sa vie lorsqu’il était jeune, ainsi on remonte dans le temps et c’est désarçonnant mais on se rattrape vite. Sur l’instant je ne comprends pas tout de suite que le jeune lobby boy est en réalité le narrateur. Mais petit à petit tout se décante. Peut-être que les habitués du style de Wes Anderson sont plus rapide, mais on finit tout de même par appréhender l’envergure de l’Œuvre, et celle-ci est magnifique.

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Les personnages sont nombreux, et représentés par un casting incroyable, rien que pour citer quelques noms, Tilda Swinton, Harvey Keitel, Bill Murray, Owen Wilson, Mathieu Amalric, Adrien Brody, Willen Dafoe, Saoirse Ronan, Edward Norton, Léa Seydoux, Jeff Goldblum, Tony Revolori …. Ils sont tous très attachant, le lobby boy nous fait vivre une histoire fabuleuse, à la limite du compte de Walt Disney, et l’acteur Tony Revolori est bluffant. Toutefois, le plus impressionnant est l’acteur Ralph Fiennes dans le rôle de Monsieur Gustave. On le déteste dans l’instant puis on s’y attache tant il est loufoque, on se rend compte qu’il n’est pas si mauvais au final et qu’un grand cœur se cache sous ce manteau de concierge.

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Tous ces personnages sont mis en place dans un film qui s’apparente à un vaudeville. On se demande si on ne regarde pas une pièce de théâtre, puis à d’autres moments des plans sont comparables à un spectacle de marionnette ou l’on a l’impression que tout est en carton pate. Il y a même comme des jeux d’ombres. On pourrait croire que cela fais de ce film une réalisation de bas étage et à petit budget lorsque l’on lit ce que je viens d’écrire, mais il n’en est rien, cela fais rêver, on a l’impression de se trouver dans un monde onirique. On est ébahit, amuser, ému, troubler et je pourrai continuer comme ça longtemps tant j’ai aimé ce film 😉

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Le film mélange aisément le comique burlesque et le drame, des fois on ne sait pas si l’on doit rire ou pleurer, mais peu importe, le but d’un film n’est-il pas d’insuffler des sentiments quel qu’ils-soient ? Et c’est totalement réussi. Wes Anderson nous raconte une histoire, ou plutôt un conte, et il parvient à nous transporter avec une telle facilitée que ça en est troublant. Je conseil de voir ce film car il vous plaira quel que soit vos goûts cinématographique. C’est un film pour tous les goûts sans qu’il perde pour autant sa saveur. Belle réussite, et belle surprise qui m’a donnée envie de voir le reste de ses films. Un 18/20 bien mérite.

A bientôt !
Enjoy
D.A.G.

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Marvel et la théorie des univers parallèles, un petit casse-tête il faut l’admettre

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Comme promis la semaine dernière, me revoici avec un nouvel article concernant un comics Marvel. Après vous avoir parlé un peu de « Secret Invasion », je vais maintenant palabrer avec vous du comics Marvel, « New Avengers : Everything Dies » !

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Cette fois-ci c’est officiellement une aventure des Avengers, mais pas celle de l’équipe que l’on connait à travers le film (car oui, il y en a eu un sacré paquet d’équipes différentes). Dans ce tome nous suivons les aventures du groupe des Illuminati qui est une équipe des Avengers constituée de Namor, Iron man/Tony Stark, Captain America, Docteur Strange, Black Bolt, Mr Fantastique et le Professeur Xavier. Black panther a toutefois refusé d’en faire partie, au début.
Ce comics aborde le principe des univers parallèles, et débute sur le fait que Black panther aka Tchalla assiste à une « incursion » d’une planète terre d’un autre univers dans l’univers des Marvels. Tchalla voit arriver Black Swan (une méchante) accompagnée de plusieurs hommes à Wakanda et ces derniers activent une machine qui détruit l’autre planète. Après l’avoir capturé, il fait appel aux Illuminati afin de leur exposer le problème. Ainsi, cette nouvelle équipe d’Avengers se voit confrontée au problème d’incursion de planète dans notre univers ce qui risque d’entrainer une collision et la destruction des deux planètes terres.
A noter que dans ce tome une petite introduction présente le fait que le professeur Xavier ne fait plus partie de l’équipe des Illuminati et qu’il serait mort. Il finit par être remplacé par le Fauve.
C’est une histoire assez intéressante, toutefois, il y a un grand nombre d’allusions à tout ce qui s’est passé dans les tomes précédents, ce qui fait que de temps à autre on ne sait pas trop de quoi ils parlent si l’on n’a pas lu tout ce qu’il faut. Mais je ne tiendrais pas rigueur de cela car c’est du Marvel après tout, c’est assez difficile de tout connaitre vue l’étendue des histoires.
J’ai vraiment bien aimé, et on découvre pas mal de choses, comme le relationnel tendus entre les Avengers. Il y a un côté opinion différentes et engueulades de temps en temps qui instaure une certaine tension dans le récit, et c’est très intéressant, car on final on ne sait jamais trop qui va prendre le dessus. Ce serait d’ailleurs particulièrement bien de voir ça à l’écran.
On accroche assez bien à l’histoire, et la fin laisse certains points en suspens. Je conseil vraiment ce tome 1, car oui il va y en avoir plusieurs, les tomes 2 et 3 sont déjà sortis (vous pouvez voir les couvertures ci-dessous, et le tome 4 « New Avengers : Perfect world » sortira le 18 Novembre 2014.

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Cependant, le gros point négatif pour moi est que ce tome manquait cruellement d’action. Il y a énormément de discussion, de palabre à tout bout de champ. Je dois admettre qu’à la fois j’ai bien aimé car cela explique beaucoup de chose, mais dans un sens on finit par s’y perdre, et on s’ennuie un peu. C’est assez dommage car cela casse le rythme du comics en dépit d’une fin assez intéressante qui donne plus ou moins envie de lire les tomes suivants.
Donc, malgré un regroupement de super-héros important, une histoire assez complexe et accrocheuse, une certaine complexité dans leur relation, à la fin le principe un peu trop lourd des univers parallèles et l’abondance de texte gâche un peu l’histoire.
La conclusion est que c’est New Avengers valent le déplacement, MAIS, il faut tenir sur la longueur pour que l’histoire démarre vraiment. Personnellement je me procurerais la suite 🙂
Pour finir, je lui donne un bon 14/20, peu mieux faire et hâte de voir la suite 😀

Enjoy,
D.A.G.

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