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Richards/Crane shows once again hard-rockers know how to make touching and beautiful songs!

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Richards/Crane
Album : Richards/Crane (2015)

For this year 2016 I decided to try (yes I said try) to start again to write English translations of my articles 🙂 It will be tough, but I will try to come up with some English article each two weeks! It will be good for me to practice my English writing like this, and in this way I will maybe expand my English speaker followers 😉
So, let’s start with some music! Aaaah music! One of my biggest passion and inspiration
Usually, If I throw myself in the writing process of a new musical article about a band or an album I will never stop to write :p That’s why I decided to try to write small musical articles according the same pattern. Anyway, I would like to be quickest, in the same time providing interesting information and of course with a good criticism, those are my goals 🙂
Let’s start with the first eponym album of the band Richards/Crane!

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Richards/Crane prouve encore une fois que les hard-rockeurs savent faire des chansons belles et touchantes !

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Un peu de musique pour ce dimanche. Aaaah la musique ! L’une de mes plus grandes passions et inspiration ! Donc généralement, si je me lance à écrire un article sur un groupe ou un album je n’en finis plus :p

C’est pourquoi j’ai décidé d’essayer – je dis bien essayer 😉 – d’écrire des petits articles musicaux, que ce soit sur un groupe ou un nouvel album. Bref, être direct tout en restant intéressant et fournis en informations et critiques, ce sont mes objectifs 🙂 Il m’a été difficile de choisir le groupe ou l’album pour commencer (il y en a tellement :p), j’ai donc pris directement celui que j’écoutais ce matin, le premier album éponyme du groupe Richards/Crane !

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N’ayez pas peur et venez découvrir les horreurs de Lovecraft avec le recueil de nouvelles Les Montagnes Hallucinées ;)

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Parlons un peu lecture avec ce nouveau livre, ou plutôt recueil de nouvelles que j’ai fini récemment, Les Montagnes Hallucinées du maître de l’horreur H.P. Lovecraft, regroupant les nouvelles « Les Montagnes Hallucinées », « Air Froid », « Le Modèle de Pickman » et « La Couleur Tombée du Ciel ».

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« Blood Omen : Legacy of Kain » un jeu vidéo laissant un très bon goût en bouche !

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J’ai un petit aveu à vous faire… vous aurez du mal à y croire je m’en doute mais vous devez savoir qu’avant d’être passionné de musique, de cinéma et d’écriture, j’étais un fan incontesté de jeux vidéos. Je vous assure que c’est vrai et j’ai bien 300 jeux finis à mon actif. C’est de cette façon que j’ai commencé à aimer les histoires, l’écriture, la création et c’est une de mes premières sources d’inspiration.
Beaucoup m’ont marqués, et je tenais à rendre un petit « hommage » à l’un d’entre eux, « Blood Omen : Legacy of Kain », un jeu culte de l’époque de la playstation 1 et encore aujourd’hui peu de jeux peuvent se vanter de fournir un univers si fournis et passionnant ! Oui je l’aime toujours et ça se sent 😉
Vous pouvez voir la pochette ci-dessous.

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Sorti sur Playstation en 1996 (j’avais treize ans à ce moment-là, ça ne rajeunit pas hein ? 😉 ), ce jeu m’a fait adorer les vampires ! 🙂 Premier jeu d’une saga ayant entrainé de nombreuses suites (pas toujours très bonne), il reste de loin le meilleur à mes yeux.

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Ce jeu prend place dans le royaume de Nosgoth dirigé par un Cercle des Neuf, gardiens des neuf piliers au centre du monde. Chaque pilier, et donc chaque gardien, représente un grand principe élémentaire, comme le temps ou la mort. Un jour, Ariel, gardienne du pilier de l’Équilibre, est assassinée; cette mort déclenchera alors une série d’événements poussant Nosgoth vers sa fin. À cette époque, Kain est un jeune noble et un soir, alors qu’un aubergiste lui refuse le gîte, il est sauvagement assassiné par une horde de brigands. Son histoire aurait pu s’arrêter là, mais Mortanius le Nécromancien (un membre du Cercle des Neuf) lui offre la chance de se venger, en le ressuscitant sous la forme de vampire. C’est ainsi que Kain se met en chasse de ceux qui l’ont assassiné, écumant le royaume sous sa nouvelle forme, assoiffé de sang… et de vengeance. Sa quête le mènera à être impliqué dans le destin même du monde et combattre la corruption du cercle des neuf. Trouver la vérité sur son assassinat et sur les sources de la perversion du royaume lui permettra de trouver les responsables de la mort d’Ariel mais surtout ceux qui tentent de mener le monde de Nosgoth à sa perte.
Voici quelques extraits.

Partant d’un postulat assez simple (vengeance, rédemption etc…) Legacy of Kain s’est avéré bien plus profond et réfléchit qu’il n’en avait l’aire. Le héros ou plutôt anti-héros devient très vite attachant, et même s’il doit tuer les villageois pour se nourrir et survivre (et oui vampirisme oblige :p), sa quête devient celle qui permettra de sauver ce monde décadent. Un monde où le vampire est au final dépeint comme un être sage, juste et érudit, comparé à l’humain sauvage et sans scrupule.

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Blood Omen Legacy of Kain premier du nom regroupe de nombreux points positifs. Concernant le design, celui-ci n’était pas pousser vers la beauté de la 3D, ils ne cherchaient pas à éblouir. Ils choisirent d’offrir une 2D raffiné et esthétique, n’entachant en rien le plaisir et la qualité de jeu. Il est vrai que les scènes cinématiques ne payent pas de mine, mais croyez-moi qu’à l’époque c’était une vrai claque ! Et très franchement je trouve que cela n’a pas trop mal vieillit 🙂
Les personnages avaient été soignés, chacun ayant leur propre histoire que l’on prenait plaisir à découvrir, comme Malek le paladin tueur de vampire qui finit par être maudit et prisonnier de son armure, ou encore Vorador l’un des premiers vampires de Nosgoth. Un vrai bonheur !
L’un des points qui m’avait surpris fut la réalité mise en place, par là je veux dire l’application des cycles jours et nuits, changeant dans certains cas le déroulement du jeu. Des portes étaient fermées la nuit, d’autres ouvertes lorsqu’il y avait des pleines lunes. Un souci du détail rare à l’époque, offrant une profondeur et un réalisme accrocheur.
Et pour fini l’un des points les plus important de ce Legacy of Kain, l’ambiance. Les développeurs ont offert à ce jeu une ambiance gothique, vampirique et sombre qui vous plonge dans les aventures de Kain avec une facilitée époustouflante. Un travail qui je pense à rarement été égalé.
La bande son avait été soigneusement réalisée pour être oppressante lorsqu’il le fallait, ou encore poétique, triste. Je me souviens encore laisser le personnage sans bougé durant certains moment de l’histoire afin d’écouter la musique tournée.


(ce n’est qu’un petit exemple il y en a plein d’autres que vous pouvez trouver sur Youtube)

En dépit des années ce jeu me reste en tête comme un bon film ou un bon livre ne subissant pas les épreuves du temps. Le fait est que je ne lui ai jamais trouvé le moindre point négatif et c’est toujours le cas aujourd’hui. La seule erreur fut de lui donner des suites :p Le deuxième épisode peut être considéré comme sympa (Legacy of Kain : Soul Reaver) malheureusement à partir du troisième ce fut catastrophique. Ils se sont embourbés dans des histoires de voyages dans le temps et autre malencontreuses idées perdant les joueurs au passage.
Malgré c’est erreurs réalisées par la suite, j’espère encore aujourd’hui que quelqu’un se réveil et donne une réédition, une suite, un remake ou je ne sais quoi sur les supports actuels, car il y aurait matière à réaliser un hit sans le moindre doute. Et soyons fou, pourquoi pas un film ? Avec un réalisateur de qualité, tout peut être possible !!! (Ils continuent bien à faire des Resident Evil sans intérêt…)
A mes yeux Blood Omen : Legacy of Kain vaut un 20/20 total et sans discuter ! Si vous pouvez vous procurer un émulateur pour playstation 1 n’hésitez surtout pas à jouer à ce jeu !!!!

Enjoy !
A bientôt !
Desmond Andrew Green

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« The Grand Budapest Hotel », I would book another room with pleasure!

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Wes Anderson is a director that we can consider not well known in general until few years ago. He was more or less comparable to an “author movies”, an underground director and not in the front of the stage with some blockbuster or big budgets movies. I was quiet interesting to discover his universe even if this one seemed quite “special”, I mean that there is no average opinion, you like or you do not like. I hesitated, movies after movies, but when The Grand Budapest Hotel came up on the screen, I do not know but it inspired me, sending good vibes. So I leap the gap and I dive in the Anderson’s universe, and I really do not regret!
Let see the trailer.

The story start in the present time where we see a student girl coming close to a memorial of a writer, she is holding the Memories of this men in her arms, and we only see the name “The Author”. She starts to read the first chapter of this book, transporting us in 1985 in the office of “the Author” where he tell us the tale of one of his journey in 1968 in the Grand Budapest Hotel. This hotel is in a fictional republic named Zubrowka, situated in the Alps in Europe. The younger version of this author visiting this Grand Budapest Hotel which is the shadow of what it was in the past. At this time it doesn’t have his magnificence anymore, and the customers are rare. The Author meet the actual director of the Hotel, Zero Moustafa (F. Murray Abraham) with whom he share a diner where Zero tell him his story, how he became the director and why he do not want to sale the Hotel even if it not working well. This story start in 1932 thus we discovered the young Zero becoming the lobby boy of the Grand Budapest Hotel at this time mighty and beautiful, and the place is running by the devoted concierge Mr. Gustave H. (Ralph Fiennes).
The movie start like this and I can’t tell you more because I will spoiled too much and break the magic.

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I have to admit that after this first ten minutes a little bit disconcerting, I was afraid because I wanted to know more about this story but I dreaded that I had started a movie to messy and boring. Let me explain, I speak about a disconcerting movie regarding the strange beginning acting like a reflexion in a mirror, seeing this own reflexion …etc…etc… (The student reading a book, and the author speaking about himself younger…etc…). It was quite confusing for me but then we managed to catch the train and everything is finally understandable (If you are a fan of Wes Anderson maybe it will be easier for you). After that we can enjoy the wingspan of this movie, and it is wonderful, it is really magical.

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There is numerous characters, with a real working back story and depict by an incredible cast, just few names, Tilda Swinton, Harvey Keitel, Bill Murray, Owen Wilson, Mathieu Amalric, Adrien Brody, Willen Dafoe, Saoirse Ronan, Edward Norton, Léa Seydoux, Jeff Goldblum, Tony Revolori …. They are all very endearing, the lobby boy make us live a magical story, a fabled story, close to a Walt Disney movie, and the actor Tony Revolori is bluffing. However, the most impressing performance come from Ralph Fiennes as Mr. Gustave. We hate him the second he appeared on the screen, but then, we realized he has a heart, a big one underneath their concierge jacket, and moreover, his behavior is really funny and crazy. I really enjoyed that.
All those characters are gathered in this movie to get something theatrical, like a Vaudeville. Some background and camera views are sometimes like a puppet theater, or in pasteboard, and even sometimes some kinds of games of shadows. But you do not have to imagine that I described a low quality movie, it is really not the case, it is more like a wake up dream. We are dumbfounded, entertain, affected, shacked… I could going one like this for while regarding as I liked this movie.

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This movie mixed easily comedy (I could say slapstick comedy) and drama. Sometimes we do not know if we have to cry or laugh, but it doesn’t matter, the purpose of a movie isn’t to instill feeling whatever they are? And it is totally successful! Wes Anderson tell us a story, or more precisely a tale, and he managed to take us so easily in his world that it is perturbing. I really recommend to see this movie because you will like it whatever your movies taste are. It is a movie for every taste without losing to provide his flavor. It is a really good job, and a big surprise that push me to see other Anderson’s movies. I give him an 18/20 well deserved.

See you soon!
Enjoy

D.A.G.

PS. Do not hesitate to let comments 😉

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« The Grand Budapest Hotel », un hôtel où vous adorerez séjourner !

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Wes Anderson est un réalisateur que l’on peut qualifier de peu connu du grand publique jusqu’à il n’y a pas très longtemps. Il était plutôt dans la case film d’auteur et underground que blockbuster ou film à gros budget. J’étais relativement intéressé de découvrir son univers même si celui-ci paraissait assez « spécial », par là j’entends du style on aime ou on n’aime pas sans qu’il y ait de demi-mesure. J’ai hésité longtemps au vue des différents films, mais lorsque The Grand Budapest Hotel a pointé le bout de son nez sur les écrans, je ne sais pas, mais cela m’a inspiré. Le casting, l’ambiance qui s’en dégageait, je ne sais pas vraiment, mais cela m’a poussé à sauter le pas pour m’initier au monde de Wes Anderson, et je ne regrette vraiment pas.

Voyons un peu la bande annonce.

L’histoire débute dans le présent où une étudiante s’approche du monument d’un écrivain dans un cimetière et elle tiens les mémoires de ce dernier dans les bras où l’on voit seulement le nom « The Author ». Elle commence à lire le premier chapitre du livre et nous retrouvons « The Author » à son bureau en 1985 narrant l’histoire d’un voyage qu’il a réalisé en 1968 au Grand Budapest Hotel. Localisé dans une république fictive appelée Zubrowka, dans les alpes en Europe ravagée par la guerre et la pauvreté, la version plus jeune de cet écrivain (jouée par Jude Law) visite ce Grand Budapest Hotel qui n’est plus que l’ombre de ce qu’il fut autrefois. Dorénavant, il a perdu toute sa splendeur, et les clients se font rares. L’auteur rencontre le directeur de l’hôtel, Zero Moustafa (F. Murray Abraham) avec qui il partage un diner et où il raconte à l’auteur l’histoire qui l’a mené à venir à diriger un tel établissement et pourquoi il ne peut s’en séparer. L’histoire commence en 1932 et c’est ainsi que l’on découvre toute l’incroyable aventure de Zero le jeune nouveau lobby boy du Grand Budapest Hotel alors majestueux et dirigé par le dévoué concierge Monsieur Gustave H. (Ralph Fiennes).

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Le film débute ainsi, et je ne peux vous en dire davantage car je révèlerai vraiment de grands instants de cette histoire. Je dois admettre qu’après ce début de film quelque peu déroutant, j’avais la peur au ventre, à la fois impatient de découvrir cet univers et redoutant de m’être lancer dans un film de 1 heures 39 qui serait sans le moindre intérêt. Je parle d’un film quelque peu déroutant car il commence de manière étrange avec une histoire raconter comme des poupées russes (ou l’effet miroir comme vous préférez), je m’explique. Une étudiante qui voit la statue d’un auteur dont elle lit le livre, puis nous voyons cet homme d’un âge avancer qui raconte sa jeunesse, le moment ou un autre homme lui raconte sa vie lorsqu’il était jeune, ainsi on remonte dans le temps et c’est désarçonnant mais on se rattrape vite. Sur l’instant je ne comprends pas tout de suite que le jeune lobby boy est en réalité le narrateur. Mais petit à petit tout se décante. Peut-être que les habitués du style de Wes Anderson sont plus rapide, mais on finit tout de même par appréhender l’envergure de l’Œuvre, et celle-ci est magnifique.

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Les personnages sont nombreux, et représentés par un casting incroyable, rien que pour citer quelques noms, Tilda Swinton, Harvey Keitel, Bill Murray, Owen Wilson, Mathieu Amalric, Adrien Brody, Willen Dafoe, Saoirse Ronan, Edward Norton, Léa Seydoux, Jeff Goldblum, Tony Revolori …. Ils sont tous très attachant, le lobby boy nous fait vivre une histoire fabuleuse, à la limite du compte de Walt Disney, et l’acteur Tony Revolori est bluffant. Toutefois, le plus impressionnant est l’acteur Ralph Fiennes dans le rôle de Monsieur Gustave. On le déteste dans l’instant puis on s’y attache tant il est loufoque, on se rend compte qu’il n’est pas si mauvais au final et qu’un grand cœur se cache sous ce manteau de concierge.

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Tous ces personnages sont mis en place dans un film qui s’apparente à un vaudeville. On se demande si on ne regarde pas une pièce de théâtre, puis à d’autres moments des plans sont comparables à un spectacle de marionnette ou l’on a l’impression que tout est en carton pate. Il y a même comme des jeux d’ombres. On pourrait croire que cela fais de ce film une réalisation de bas étage et à petit budget lorsque l’on lit ce que je viens d’écrire, mais il n’en est rien, cela fais rêver, on a l’impression de se trouver dans un monde onirique. On est ébahit, amuser, ému, troubler et je pourrai continuer comme ça longtemps tant j’ai aimé ce film 😉

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Le film mélange aisément le comique burlesque et le drame, des fois on ne sait pas si l’on doit rire ou pleurer, mais peu importe, le but d’un film n’est-il pas d’insuffler des sentiments quel qu’ils-soient ? Et c’est totalement réussi. Wes Anderson nous raconte une histoire, ou plutôt un conte, et il parvient à nous transporter avec une telle facilitée que ça en est troublant. Je conseil de voir ce film car il vous plaira quel que soit vos goûts cinématographique. C’est un film pour tous les goûts sans qu’il perde pour autant sa saveur. Belle réussite, et belle surprise qui m’a donnée envie de voir le reste de ses films. Un 18/20 bien mérite.

A bientôt !
Enjoy
D.A.G.

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Article « vidéo de la semaine » « review musique » pour The Sound Of Animals Fighting, car ils le méritent :)

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Nouvel article vidéo pour ce début de mois de Mai, et cet article va être un peu différent car il sera autant un article « vidéo de la semaine » qu’un article « review musicale ».

Oui, oui, deux en un 😉 Car je vais vous parler d’un groupe, et pas des moindres, The Sound Of Animals Fighting !!!

Ce groupe n’est autre qu’un All Star Band ! Il regroupe des membres des plus grands groupes Americain d’emo-rock, art rock, experimental, post-hardcore.

La vidéo qui suit est tirée du dernier album.

Fondé par Rich Balling (ex-RX Bandits) en 2004, il comprend les membres des groupes comme RX-bandits, Finch, Circa Survive, Atreyu, The Hippos, The Autumns, Chiodos, Sunn O))), Good old war. Et oui, rien que ça.
Avec au micro Anthony Green (Circa Survive, ex-new-Saosin), Rich Balling (ex-Rx Bandits), Craig Owens (Chiodos, ex-DRUGS, ex-Cinematic sunrise, Ex-Iles&Glaciers), Keith Goodwin (Good old war, ex-Days Away) et Matt Embree (Rx Bandits).

Ce groupe fait rêver non ? Tant de talents dans le même groupe pour un projet exceptionnel, mélangeant différentes influences venant de tous les groupes, tout en conservant un anonymat (en tout cas dans les premiers temps) en évitant d’utiliser leur image comme voix promotionnel. Ils se sont masqué sur les artworks des CD et ont pris des noms d’animaux (the sound of animals fighting vous comprenez le truc ? 😉 ). Des noms comme The Skunk ou encore The Walrus.
Ils ont créé trois albums entre 2004 et 2008 avec quatre uniques concerts en 2007 (qui ont été retranscrit sur un DVD (We must become the change we want to see)). 7 ans plus tard (à savoir en 2014) ils ont réalisés 7 shows de plus, des concerts pour le moins exceptionnels croyez moi (oui j’ai le DVD et j’en ai usé et abusé lol).

Leurs concerts retranscrits sur le DVD sont époustouflants tant par le mélange de style, d’art différents et de créativité. Ils font intervenir des danseurs contemporains, des peintres (réalisant des oeuvres en direct au fur et à mesure du concert), des vidéos sont projetées en arrière plan, Rich Balling vient même ajouter un côté spoken word en lisant une de ses œuvres littéraire en musique.
La puissance des chanteurs comme Craig Owens et Anthony Green se marient parfaitement avec la douceur des voix de Matt Embree et de Keith Goodwin.

Ce groupe est plus ou moins difficile à appréhender au cours des premières écoutes, chaque album est une pièce unique qu’il faut écouter d’une traite, voilà pourquoi il faut se laisser du temps pour appréhender leur création. Mais au bout du compte ce fut une révélation et représente pour moi une source d’inspiration et un exemple de créativité dont je ne me lasse pas 🙂 Personnellement je rêverais de pouvoir collaborer de la même manière avec des gens aussi passionnée sur différents projets 🙂

The SOAF est phénoménale, et même si le lineup évolue depuis la création, certain membres clefs demeurent (Anthony green, rx bandits entre autre), je serais le premier à sauter sur un nouvel album ou une place de concert (là ce serait le pied musical total :p).

Je conseil sans hésiter ce groupe hors du commun et je leur donne une note générale de 18/20 car ils le méritent amplement.

Il est maintenant temps d’apprécier leur musique par vous-même tout au long des vidéos que j’ai mises sur cet article.
Et n’hésitez pas à laisser des commentaires 😉

Enjoy !
D.A.G.

La vidéo que vous pouvez voir ici est extraite du DVD live de leur première série de concert en 2007. Ainsi vous pourrez apprécier la puissance de Anthony Green au micro, avec toute l’activité qu’il y a autour de lui (les musiciens déchainés, les peintres, la vidéo, les danseuses…).

PS. Site officiel ICI et Facebook officiel LA !

Et on finit pour les fans par une petite vidéo qui date des derniers concerts réalisés cette année 🙂

« Vidéo de la semaine » concernant Black Light Burns avec le titre Lie (Partie 1)

Vidéo Publié le Mis à jour le

Premier « Vrai article » pour la catégorie « Vidéo de la semaine » 🙂

Le choix a été très difficile, tant de bon groupe, de diversité, et sachant que j’écoute plusieurs centaine de groupes et chanteurs, la décision fut compliquée. Toutefois, j’aurais d’autres semaines (enfin normalement :p) pour publier d’autres vidéos musicales, donc ne soyez pas triste, il y en aura pour tous les goûts 😉

Cette semaine (roulement de tambour), j’ai choisi Black Light Burns !!!
Et oui, le groupe de Mr. Wes Borland, le seul, le vrai, l’unique.

Ce groupe a été une révélation pour moi, une découverte fantastique (sur le myspace de Jonathan Davis, oui oui, le chanteur de Korn). Après un premier album fantastique « Cruel Melody », un album CD/DVD de face B et reprises, ils sont revenus avec un second opus « The moment you realize you’re going to fall », qui est bien au-delà du 1er album, et un album concept « Lotus Island » particulièrement intéressant. Je pourrais en parler longtemps, c’est pourquoi le prochain article musical parlera en détail de ce groupe phénoménal avec son leader tout aussi exceptionnel qu’est Wes Borland.

Bref, nous allons pour cet article nous focaliser sur la première période de ce groupe, c’est-à-dire, le premier album « Cruel Melody » (le prochain article « Vidéo de la semaine » traitera de la seconde période, à savoir le deuxième album).
L’une des chansons far de ce premier essai est « Lie », aux accents Nine Inch Nailien (Danny Lohner oblige…), elle est particulièrement sombre, rythmée, hypnotisant et folle (tout comme Wes :p). Voilà pourquoi je l’ai choisi comme première vidéo de cette nouvelle rubrique.

Un titre explosif dont je ne me lasse pas et dont je ne lasserais jamais.
Aller c’est le moment, il faut cliquer sur « PLAY » les amis 😉

Enjoy
D.A.G.

PS. N’hésitez pas à laisser votre avis 😉 et si vous voulez en savoir plus sur ce groupe exceptionnel allez faire un tour sur leur site officiel dont voici le lien http://blacklightburnsofficial.com/home.html