bill murray
Bienvenu à Zombieland, une petite tranche de rigolade pas trop sanglante !
Il faut toujours penser à rattraper son retard au niveau des « classiques », mais c’est un peu compliquer quand on s’intéresse au cinéma, aux séries-tv, à la lecture et aux jeux-vidéos… ça fait beaucoup de classiques 🙂 Sans oublier que je suis un spécialiste du retard dans tous les domaines :p
Aujourd’hui, je vous parle d’un rattrapage de classique un peu sanguinolent, mais surtout marrant, avec Bienvenue à Zombieland !
Bande annonce droit devant !
L’île aux Chiens, de la stop motion toute en émotion canine ;)
Nouveau film de Wes Anderson, je me suis laissé tenter par l’ovni L’île aux Chiens !
Un voyage surréaliste dont je vais vous parler.

source
Un peu d’image histoire de comprendre les mots ovni et surréaliste que j’ai utilisé juste avant 😉
« Groundhog Day » A movie that we like to watch again and again and again !
I must confess something, it is hard to say, but, I am not really young :p So I grew up with 80’s movies and I know them quite well 😀
That is why I am going to speak about the movie « Groundhog Day » with the famous Bill Murray (the second movie I have seen with him when I was young, just after Ghostbuster’s), a movie that really left me good memories because I really laugh a lot. Let’s see the trailer.
I decided to watch this movie again few weeks ago (with my girlfriend because she never seen it) and I realized it aged properly because we laugh a lot together and she enjoyed this movie.
It was realized by Harold Ramis (yes! Doctor Egon Spengler from Ghostbuster’s 1 and 2) in 1993, it doesn’t make us any younger 🙂 )
We are following along this movie the story of Phil Connors (Bill Murray, outstanding like usual), announcer in a small TV station, with a huge ego and acting like a rude stupid guy with every people he meet, because he think he is a big TV star, but he is not. Like every years, he has to go to the small city Punxsutawney to covering the annual event of the Groundhog Day. He went to this city with his cameraman Larry (Chris Elliott) and his producer Rita (Andie MacDowell). However, weary to do this reportage every year, he made a sloppy report, hopping that he will be able to get back to Pittsburgh quickly. Unfortunately, a snowstorm, which he announce on the screen earlier to be in another region, hit the small city of Punxsutawney, forcing them to stay on more day.
This is where it all begin. After this night, Phil wake up and seems to have a filling of « déjà vu » and realize quickly that he is back to the Groundhog Day. This day goes like the last time and Phil seems to be the only one to realize that.
Totally lost at the beginning, Phil start to realize that it is not a nightmare but a good opportunity to do what he want, among craziest things. At this point, the film begin to be a repetition of the same day with a lot of gags each one most craziest than the others.
During this movie, le character of Phil is going to learn to listen other people, caring more about them than himself. He start the movie acting as a selfish guy, really mean, but step by step, he became someone really close to other people, saving them, helping them, or simply listening them, seeing that we can find pleasure to help others and seeing them happy.
He is going to realize that learning is something that allow to see the world in a different way, that nothing is acquired, we can learn every single day during all our life. And after all that, he will learn to love and will find the true one, a love that you cannot gain with money, or glory neither power.
This movie is a total success and reflects a style of movie that almost disappear nowadays. There is no dirty jokes, swearword or naked woman in it. I see this film like a fable, simple, honest. Harold Ramis tells us a good story, funny and full of feelings. It is with movie like this that you realize that sexes, violence or special effects are not really necessary to make people dreaming. Sincerity, honesty and creativity it is all that matter.
Moreover, you have to realize that the concept is simple, live the same day again and again, the principle of the time loop has been re-used after this movie a lot of time in other production in the theater or on TV (Edge of tomorrow recently, but also TV show like supernatural, stargate, and the list could be longer). In some sort of way, this 20 years old movie was a precursor about this concept 🙂
In summary, this movie is relatively philosophical and seduce a lot of people when it was release, gaining almost six time the investment which is really a lot for a movie of this period, and it stay cult and a reference since more than twenty years in the all world (i am still a big fan).
I really recommend this movie and give him a grade of 17/20, it is really a good quality and does not getting old and could fit to every generation.
This movie is like a reflexion about life, and the meaning of it.
Enjoy 😉
Desmond A. Green
PS. Do not hesitate to let comments, start discussions and say what you are thinking about this movie 😉
« Un jour sans fin » un film que l’on ne se lasse pas de revoir !
Il faut que je vous avoue quelque chose, c’est difficile à dire, mais, je ne suis pas tout jeune :p Donc les films des années 80 ça me connais, car je les regardais quand j’étais gamin 😀
Voilà pourquoi je vais vous parler un peu du film « Un jour sans fin » (en anglais Groundhog Day) avec Bill Murray (deuxième film que j’ai vu à l’époque avec cet acteur que j’adore, juste après SOS Fantôme) qui m’avait bien marqué étant enfant, car cela m’avait fait bien rigoler.
J’ai donc décidé de le regarder avec ma chérie il y a peu de temps, car elle ne connaissait pas se film et visiblement, il a bien vieilli car on a bien rit et cela lui a plus.
Ce film, aussi appelé Le Jour de la marmotte au Québec, a été réalisé par Harold Ramis (oui le docteur Egon Spengler de SOS Fantôme 1 et 2) en 1993, ça nous ne rajeunis pas tout ça 🙂
On suit l’histoire de Phil Connors (Bill Murray, exceptionnel comme à son habitude), présentateur dans une petite station de télévision, à l’ego démesuré et complétement exécrable avec tous les gens qui l’entourent car il se prend pour une star de la télévision (ce qu’il n’est pas). Comme chaque année, il se retrouve à devoir aller dans la petite ville de Punxsutawney afin de couvrir l’évènement annuel du Jour de la marmotte. Il se rend donc dans cette petite ville en compagnie de son caméraman Larry (Chris Elliott) et de sa productrice Rita (Andie MacDowell). Toutefois, étant lassé de devoir réalisé un tel reportage chaque année, il le bâcle en espérant rentrer le plus vite possible à Pittsburgh. Malheureusement, une tempête de neige, qu’il avait prévu dans une autre région, frappe la petite ville de Punxsutawney, les obligeant à y rester un jour de plus.
C’est alors qu’après une nuit de sommeil, Phil se réveil et découvre qu’il est à nouveau le matin du Jour de la marmotte. La journée se déroule de la même façon que précédemment et seul Phil semble se rendre compte qu’ils revivent la même journée.
Perdu dans un premier temps, Phil finit par y voir une opportunité de réaliser les choses les plus folles. Le film part alors sur une série de gags tous plus fou les uns que les autres.
Au cours du film, le personnage de Phil va apprendre à écouter les gens qui l’entourent, à se soucier davantage des autres que de sa petite personne. Étant au début un homme imbu de sa personne, aigrit, il va devenir petit à petit quelqu’un d’attentionné envers les autres, voyant que l’on peut trouver du plaisir à aider autrui et les voir heureux. Il va se rendre compte que s’instruire et apprendre est quelque chose qui lui permet de voir le monde qui l’entoure autrement. Il va découvrir l’épanouissement personnel à l’aide du savoir et des personnes qu’il croise. Pour finir, il apprendra à aimer, et à trouver l’amour comme il se doit, en touchant la personne avec sa sincérité, et non à l’aide de la gloire, l’argent ou tout autre chose que la société présente comme une nécessité afin de se sentir bien et d’être aimé par les autres.
Ce film est une totale réussite et reflète un cinéma qui a quasiment disparue. Il n’y a pas de blagues salaces, de gros mots, ou encore de filles nues durant le film. Je le vois comme une fable simple, sincère, sans chercher à transcender quoi que ce soit. Ramis nous raconte une belle histoire, à la fois marrante et touchante. C’est en voyant des films comme celui-ci que l’on se rend compte que l’on n’a pas besoin de sexe ou d’effets spéciaux coutant des millions afin de faire rêver. De la sincérité et de l’inventivité, rien d’autre.
De plus, il faut tout de même noter que ce concept simple de revivre une journée, le principe de la boucle temporelle, a par la suite été reprit de nombreuses fois que ce soit dans d’autres films et série (Edge of tomorrow récemment, mais aussi des séries comme Supernatural, Stargate et la liste pourrait être longue). En quelque sorte, ce film qui a plus de 20 ans peut être considéré comme avant-gardiste et précurseur dans ce concept 🙂
En bref, ce film relativement philosophique a séduit beaucoup de monde à l’époque de sa sortie, rapportant près de six fois l’investissement ce qui est relativement bien pour un film de l’époque, et surtout il reste culte pour beaucoup de cinéphile dans le monde (moi le premier).
Je le recommande vivement avec un bon 17/20, c’est un film de qualité, il n’as pas vieilli et peut être vu autant en famille qu’avec sa chérie (ou son chéri 😉 ).
Enjoy 😉
Desmond A. Green
Monument Men loin d’être un monument !
Les Monuments Men, la déception du moment.
Jusqu’à maintenant, j’ai toujours été pour le moins élogieux au sujet des films que j’avais vu et dont j’avais fait un article sur mon blog. Malheureusement, cette fois-ci, cela ne va pas être la même histoire.
Mais je vous laisse regarder la bande annonce avant d’en parler.
Sur le papier il y a tout pour plaire comme vous avez pu le voir. Tout d’abord le casting avec rien d’autre que George Clooney (à la réalisation, l’écriture et la production d’ailleurs), Matt Damon, Bill Murray (que j’adore tout particulièrement), John Goodman (que l’on ne voit pas assez à mon goût sur le devant de la scène), Jean Dujardin (oui le notre 😉 ), Bob Balaban, Hugh Bonneville et Cate Blanchett. L’histoire elle aussi fait rêver car basée sur des faits réels (Clooney rapporte que 80 pourcents de l’histoire qui se passe dans le film est vrai et a vraiment eu lieu). Une grosse production où l’on ne s’attend pas à des débauches d’effets spéciaux mais du beau cinéma, avec une flopée de très bon acteurs et une histoire intéressante.
Toutefois, en dépit de tout cela, le soufflé retombe très vite lorsque l’on se risque à regarder ce film 😦 Cela m’attriste beaucoup de dire cela, mais c’est malheureusement le cas… (Bien entendu ce n’est que mon avis je précise encore une fois, mais qui est relativement partagé par le public et la presse de manière générale si vous jetez un œil sur le web).
Il y a de nombreux points négatifs que l’on peut citer pour ce film, mais je m’attarderais uniquement sur les plus gros à mes yeux, en commençant tout d’abord sur les acteurs.
Le film possède un casting alléchant (digne d’un Ocean Eleven), mais malheureusement tous sont mal exploités et l’on se retrouve avec un film où Clooney et Damon sont le plus claire de leur temps à l’écran reléguant les autres au niveau de personnages secondaires à peine traité. Tout le cast est très nettement sous exploité. C’est une énorme déception surtout lorsque l’on a Goodman, Murray et notre Dujardin national à l’écran.
Ce point doit être traité avec un autre qui est l’intérêt du récit qui joue contre les acteurs. On ne sait pas ou veut en venir Clooney avec son film et on décroche très vite. Ok, ils sont là pour récupérer les œuvres d’arts que les nazis ont volés. D’accord, jusque-là je comprends. Le film est plus ou moins intéressant lorsqu’ils se font entrainer et qu’ils débarquent en Normandie. Mais à partir du moment où ils se séparent, ça devient n’importe quoi.
On ne sait plus trop ce qu’il se passe. Le film ressemble à un enchainement de scénettes sans réel lien. De plus, le temps passe à une vitesse folle et heureusement qu’il précise de temps en temps l’année où se déroule l’action car on ne comprend pas vraiment où l’on se situe dans le récit. Il y a une impression de « je n’ai rien à raconter donc on se dépêche » ce qui en fait un film extrêmement décousu.
Chacun fait sa petite affaire de son côté, Goodman et Dujardin d’un côté qui offrent un duo vraiment très sympa auquel on s’attache très vite, mais Dujardin fini par mourir plus que stupidement et si vite que l’on n’est même pas ému. Quand à Goodman, à part une ou deux scènes marrantes, il ne sert strictement à rien, ce qui est aberrant quand on connait le talent du bonhomme.
Concernant Balaban et Murray, ils sont catalogués dès le début comme étant les deux vieux qui se chamaillent, et sont mis à part. Pour eux aussi, l’histoire n’as aucun sens. Ils essaient de montrer une facette plus compréhensive de la guerre en les plaçant dans des scènes comme par exemple celle où ils évitent de s’entretuer avec un allemand, mais au final on ne voit pas vraiment non plus l’intérêt. Retirer cette scène n’aurait rien changé. C’est d’ailleurs dans leur « time line » que j’ai compris que le temps passé très vite car en 15 min ils sont déjà à noël et de nombreux mois se sont écoulés depuis leur arrivée. Au final sans qu’il ne se passe vraiment grand-chose.
Hugh Bonneville, personnage à la recherche de la rédemption, finit lui aussi bêtement par se faire tuer, et très franchement c’est à la limite du ridicule car il aurait très bien pu s’en tirer. A croire qu’il l’a fait exprès. L’évènement ne sert qu’à créer un arc scénaristique pour essayer de donner un peu de fond et de dramaturgie au film, mais c’est malheureusement un coup dans l’eau. On trouve seulement qu’il se fait tuer stupidement, sans aller chercher plus loin.
Pour finir, Damon et Blanchett font leur petite vie en France. Un rapport plus ou moins ambiguë est présenté entre les deux personnages avec une Cate Blanchett insupportable, complétement invivable, limite hargneuse pendant tout le film, et d’un coup en voyant que son ancien méchant directeur allemand a été arrêté elle chance du tout au tout et fait même des avances plus qu’ouvertes à Damon qui reste un vrai gentleman. Je suppose que Clooney a voulu mettre en place une sorte de romance entre les deux personnages en plus du fait que Blanchett avait du mal à avoir de nouveau confiance en un inconnu qui pourrait lui aussi voler les œuvres. Mais on ne retient que le fait que Blanchett est insupportable et que Daman est aussi réactif qu’un mollusque (Jason Bourne quand même 😦 ).
Dans tout cela Clooney sert tout simplement d’arbitre, en réalisant des interludes entre chaque groupe… et c’est tout.
Le plus gros problème, entrainant toutes ces incohérences et situations sans aucun sens, est que Clooney semble ne pas savoir ce qu’il fait ici. Le film n’a aucune identité. Ce n’est ni un film de guerre, ni vraiment un film historique, ni même un film humoristique ou romantique. La dynamique est déplorable, notamment du fait de créer des scènes un peu partout en Europe qui se passent des fois à des mois d’intervalles sans que l’on s’en rende compte. Il y glisse une légère pincé de tout et tente de rendre l’ensemble cohérent mais manque son coup. Le film devient vite ennuyeux et s’embourbe totalement après la première demi-heure.
Avec un film au potentiel énorme, il finit avec quelque chose qui se rapproche davantage d’un documentaire qu’autre chose, et encore, un pas très bon. Je pense qu’il a vu trop grand en voulant traiter un film à fort potentiel contenant un grand nombre de bon acteur. N’est pas Joss Whedon qui veut 😉 Clooney s’est brulé les ailes en ayant les yeux plus gros que le ventre et n’obtient qu’un petit film pour se reposer un dimanche soir et encore.
Cela me coute de le dire, mais, en dépit de quelque bon passages, ce film est loin d’être un Monument et ne mérite pas de passer par la case cinéma. Monument Men est malheureusement complétement raté à mes yeux et je ne peux que lui donner un 7/20. Fort dommage, autant pour tous ces bon acteurs, que pour notre Dujardin national.
D.A.G.
PS. N’hésitez pas à laisser votre avis 🙂