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The Flash (Saison 3), Barry court toujours aussi vite mais il n’est pas loin de se prendre les pieds dans le tapis.

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Nouvel article série tv sur la troisième saison de The Flash sur la CW !
Oui, je sais, je suis un peu en retard, mais que voulez-vous, avec tellement de séries et de choses à chroniquer j’en oublie des fois les classiques :p Mais je finis toujours par rattraper le retard 🙂
Barry continu ses aventures, tentant toujours désespérément de réparer ses erreurs sans pour autant éviter d’en créer d’autres pour notre plus grand plaisir 🙂

Des images pour le récap 😉

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The Flash confirme sa place de leader de l’univers DC de la CW, à une vitesse fulgurante !!!!

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L’enchainement des articles d’Arrow et Flash cette année me rappellent un peu l’année dernière. La chute de l’un, et la réussite de l’autre :p
Parlons donc un peu de cette deuxième fournée de The Flash !
(Besoin d’un rappel ? Vous pouvez retrouver les anciens articles pour les saison 3 et 4 d’Arrow et pour la saison 1 de The Flash)

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Bande annonce pour se remettre dans l’histoire !


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L’univers DC de la CW s’agrandit avec la saison 1 de The Flash, une série de qualité que l’on n’avait pas vu arriver !

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La semaine dernière je vous ai parlé de mon ressenti, plus que négatif il est vrai, sur la saison 3 de The Arrow (vous pouvez retrouver l’article ici), toutefois, pour ce nouvel article, le ton va très nettement changer, car je vais vous parler de la première saison de The Flash !!!

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Voici la bande annonce de la saison 1.


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Du rock sans fioriture saupoudrée d’industriel, ça vous intrigue ? Voici, Filter !

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Filter, vous connaissez ? Le leader est Richard Patrick, le petit frère de Robert Patrick, vous savez, le T-1000 dans Terminator 2 :p Alors si cela ne vous dit rien, je vais vous faire découvrir ce groupe américain avec ce nouvel article vidéo de la semaine 😉 (Vous pouvez venir aussi même si vous connaissez, il y a de la place pour tout le monde ;))

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Pour vous mettre l’eau à la bouche, voici le titre (que vous avez sûrement déjà entendu sans savoir que c’était du Filter) Hey Man Nice Shot tiré du premier album Short Bus.


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« Review cinéma » de la semaine avec « Moi Moche et Méchant 2 » pour une bonne tranche de rire démoniaque ;)

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Cette fois-ci on va prendre le temps de discuter un peu de Moi moche et méchant 2 !!! Un peu de méchanceté et d’humour ça ne fait pas de mal 😀

Suite du premier volet (sorti en 2010), Moi moche et méchant 2 sort en 2013 et malgré ce que j’aurais pu croire (car je n’avais pas été emballé plus que ça par le premier je dois l’avouer), le deuxième épisode a fait un carton total au cinéma avec 970 761 885 de dollars pour un budget de 76 000 000 de dollars.

Je me devais donc de le regarder tôt ou tard, et c’est maintenant chose faite !
La première remarque est que j’ai beaucoup aimé cet épisode comparé au précédent ! Oui, oui c’est vrai 😉

Mais avant d’en dire ce que j’en pense, parlons un peu de l’histoire tout d’abord.
Après avoir remis la lune à sa place Gru abandonne le métier de méchant et décide de se consacrer à ses trois filles Edith, Agnès et Margo.
Un méchant mystérieux vol à l’aide d’un aimant géant (!?!) un laboratoire militaire consacré à la fabrication d’une arme secrète (un sérum transformant l’hôte en un mutant violet et indestructible) ce qui pousse une agence gouvernemental secrète nommée AVL (Agence Vigilance de Lynx) à faire appel à Gru, par l’intermédiaire de l’agent Lucy Wilde, en raison de son expérience de criminel. Ils lui proposent comme mission d’infiltrer un centre commercial où des traces de ce fameux sérum ont été détectées.
Dans un premier temps il va refuser mais se décidera finalement à se lancer dans cette aventure et c’est ainsi qu’il fait le premier pas qui va lui attirer des ennuis !

Le film explore un peu plus le passé de Gru, mais aussi sa nouvelle vie de père de famille et le fait qu’il essai tant bien que mal d’être quelqu’un de normal. Ainsi, cela permet de créer un certain nombre de scènes très marrantes (l’anniversaire d’Agnès, le rendez-vous galant arrangé…) et le personnage de Gru devient de ce fait plus attachant. Ceci m’a permis de l’apprécier davantage comparé au premier film. J’ai trouvé que Gru était bien plus travaillé et encore plus drôle qu’avant.

Les filles elles aussi sont assez marrantes mais n’ont qu’un rôle relativement mineur je trouve, ce qui est dommage car le potentiel est relativement important. Mais bon, qui sait, elles auront peut-être une part du gâteau plus importante dans un épisode 3 (non je ne spoile pas, je dis juste ce qui est inévitable, je prédit un Moi moche et méchant 3, c’est certain 😉 ).

La partie la plus innovante de cette nouvelle aventure réside dans la relation « amoureuse » qui se crée petit à petit entre Gru et Lucy (doublée par Audrey Lamy et ça se reconnais). Cette relation offre au départ un duo très marrant qui ne se supporte pas vraiment, et dans un second temps, toujours se même duo mais qui ne peut plus se quitter. Des passages touchants, et vraiment très marrants ! Cela ne vire pas du tout au nié ou mièvre. La relation est très bien traitée, avec une touche d’amour pour une vague d’humour 😉

Et vient pour finir la partie la plus marrante du film, les MINIONS !
Véritable révélation humoristique dans le premier volet, ici ils ont la part du lion ! Du début à la fin ils sont à l’écran, et ceci pour notre plus grand plaisir. Ils offrent des situations complètements, on peut le dire je pense, débiles, mais vraiment trop marrantes. Prenons comme exemple le moment où Gru se fait kidnapper et que deux minions tentent de le sauver, ou encore lorsqu’ils se prennent pour des pompiers, quand l’un d’eux est déguisé en soubrette pour faire le ménage, mais aussi à la fin lorsqu’ils se prennent pour un boys-band. Bref, les moments hilarant causés par les Minions sont nombreux et on en redemanderait même à la fin. Un film exclusivement basé sur eux est d’ailleurs en préparation ce qui promet de grand moment de rigolade en perspective !

Pour conclure, Moi Moche et Méchant 2 est un moment de franche rigolade, un bon niveau au-dessus du premier épisode. L’histoire est davantage travaillé tout autant que les personnages, et les Minions, et bien c’est les Minions 😉
Ce film d’animation pourra plaire autant aux grands qu’aux petits, je le conseil de bon cœur et avec un grand sourire 😀
Je lui donne un bon 16/20. C’est une grande réussite, et contrairement à ce que je pouvais penser après avoir vu le premier, maintenant j’attends avec impatience le troisième volet qui je suis sûr ne devrait plus tarder à être annoncé !

Bon cinéma et on se retrouve pour le prochain article 😉
Stay tuned !

D.A.G.

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Première « Review Cinéma » avec Django Unchained !

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Pour ce premier article cinématographique, nous allons parler un peu tarantinesque :p

Grand fan de Mr. Tarantino, j’ai tous ces films à mon actif et généralement je fonce toujours les voir dès leur sortie au cinéma. Le weekend dernier nous avons, ma chérie et moi, regardé Django Unchained qu’elle n’avait pas voulu aller voir et que j’avais vu seul. Mais cette fois-ci, je suis parvenu à la résonner et nous avons regardé le fameux western de Tarantino.
Résultat des courses, elle a adorée ! Et il y a de quoi !

Le synopsis est relativement simple, il faut l’admettre, comme dans tout Tarantino. Toutefois, il se démarque de bon nombre de cinéaste par sa façon de réaliser, ses textes et ses personnages.
Donc, expliquons d’abord l’histoire.
Libéré de l’esclavage par le Dr. King Schultz (Christoph Waltz), dentiste et chasseur de primes (on trouve ça uniquement chez Tarantino), l’esclave Django (Jamie Foxx) devient Django Freeman. Dans un premier temps libéré de ses chaines pour aider le Doc à retrouver des hors la loi dont seul Django connait le visage, le Dr. Se prend d’affection pour lui et décide de l’aider lorsqu’il en apprend un peu plus sur le passé de l’ex-esclave. Après l’avoir entrainé pour devenir un chasseur de primes d’exception, ils partent tous les deux à la recherche de Broomhilda la femme de Django qui est l’esclave de Calvin Candie (Leonardo Dicaprio). S’en suit des tueries à gogo, des litres de sang, une tonne d’humour noir et des discussions abracadabrantesques comme sait si bien les faires Tarantino.

Premier western de Tarantino comme je l’ai dit plus haut, et je dois admettre qu’il est particulièrement réussi avec en plus quelques musiques composées par Mr. Ennio Morricone himself !
La réalisation est propre, léchée, on retrouve des mouvements de caméra digne des meilleurs westerns spaghettis (avec le bon la brute et le truand en tête), ainsi que des restes de ces derniers films. Comme d’habitude, chacune de ces productions sont liées, marquant la suivante, avec notamment ici une manière de filmer qui m’a rappelé énormément Kill Bill 1 et 2 avec un style proche des affrontements des vieux films de kung-fu dont il s’était très ouvertement inspiré pour les Kill Bill. Mais dans ce cas présente, avec des pistolets :p
Toutefois, cela ne gêne pas du tout car c’est du Tarantino.

Viens ensuite les décors, magnifique tout simplement. J’avoue avoir été bluffé, c’est digne d’un Into The Wild je trouve. Des décors et prises de vue qui sont sans hésiter les plus belles de tous les films de Tarantino. Même si ce n’est pas la partie la plus importante du film, il marque une grosse évolution par rapport à ses anciennes productions.

Bien entendu, le stock d’hémoglobine est là, comme dans tout Tarantino. Django suis la tendance lancé avec la série Kill Bill, Boulevard de la mort, ou encore Inglourious Bastards avec du sang à gogo, mais cela ne gêne pas. Il y en a tellement que cela ne fait que créer un moment de rigolade pour tout le monde plus qu’un sentiment de dégoût 😀

Et pour finir, le plus important, le plus impressionnant, les personnages. A mes yeux, ce que réussi chaque fois avec brio Tarantino est de créer autant des personnages « gentil » et « méchant » que l’on adore dès la première seconde.
Le Dr. est joué divinement par Waltz avec un raffinement et une prestance tout aussi incroyable que Hans Landa dans Inglourious Basterds. Il fait un travail qui pourrait nous rebuter, mais on sent aussi la solitude et le cœur que possède le personnage, ce qui le pousse d’ailleurs à prendre Django sous son aile, mais aussi le fait qu’il est tout à fait conscient de faire un travail atroce qui doit malgré tout être fait. On l’adore dès la première seconde où l’on voit la dent de sa carriole arriver en dodelinant dans la nuit noire.
Django est un personnage qui créer immédiatement une empathie, déjà face à son statut d’esclave qui a clairement souffert, mais aussi en découvrant son histoire. Au début réservé, il se révèle petit à petit. Il présente au final le charisme d’un Clint Eastwood croisé avec un James Brown. Il nous fait rêver et se présente comme un héros attachant.
Leonardo Dicaprio (Calvin Candie) se révèle totalement dans ce film. Les derniers auquels il a participé été impressionnant, ça je ne le remets pas en doute (arrête mois si tu peux, inception…) mais en méchant, là je dis OUI ! Je n’étais franchement pas emballé à l’idée qu’il soit le méchant de ce film, toutefois après avoir goûté à sa prestation, je n’en revenais pas. Il arbore un regard et présente une attitude diabolique, et vire à la limite du regard d’un fou dans la deuxième partie du film. C’est une présentation où je lui donne 20/20. Je trouve qu’il égale la prestation de Waltz dans les Basterds. Un bad guy que j’ai adoré détesté !

Je sais, je les présentes tous comme des acteurs à prestation exceptionnel, mais c’est bien le cas. Je pense que personne ne s’y attendait, et tout le monde a été bluffé.
Cependant, le must du must, la cerise sur le gâteau est sans hésitation Samuel L. Jackson. Un grand monsieur que cet acteur. Je l’ai adoré dans tant de films, Die Hard 3, Pulp Fiction, tous les Marvels ou encore Jackie Brown pour ne citer que ceux-là. Par contre, en tant que Stephen, le serviteur noir de Calvin Candie, il m’a bluffé autant que choqué ! Il est tout d’abord limite méconnaissable. Il est grimé d’une façon où on pourrait croire facilement qu’il a 90 ans. Ses traits marqués intensifient un côté tout simplement mauvais, et son accent travaillé à l’extrême est époustouflant en VO. Il incarne un ignoble chef des majors d’homme. Et j’ai adoré !!!! Une prestation d’acteur a coupé le souffle. Si je dois choisir un personnage et un acteur dans ce film c’est sans hésiter que je choisi Stephen/Samuel L. Jackson comme le plus époustouflant. Un des meilleurs « ignoble » que j’ai pu voir dans un film. Je dis chapeau l’artiste !

Bref, un film exceptionnel, parmi les plus réussi de tous les films que Tarantino ai réalisé, et cela va être très très dur de faire mieux pour le prochain. Mais bon, Tarantino a toujours sus nous étonner 😉 Et maintenant que la nouvelle est tombée comme quoi il n’aurait finalement pas définitivement abandonné son prochain western The Hateful Eight, je ne peux que trépigner d’impatience !

Je conseille donc vivement ce film qui est une réussite total. Il pourra plaire aux fans de westerns, films d’action, d’aventures, ou encore d’hémoglobine. Je trouve qu’il y en a pour tous les goûts et que c’est un coup de maître. Voilà pourquoi je lui octroie un 19/20 bien mérité.

Django Unchained, un film à voir et revoir sans hésiter !

D.A.G.

Vidéo de la semaine ! Black Light Burns partie 2 ;)

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Déjà le troisième article pour la catégorie « Vidéo de la semaine », près pour une autre tranche de musique ? 😉
Ok, alors c’est parti !!!

Cette semaine nous allons continuer un chapitre que nous avions débuté avec le premier article de cette catégorie, à savoir Black Light Burns !!!
Et oui, le groupe de Mr. Wes Borland, le seul, le vrai, l’unique est de retour dans la catégorie « Vidéo de la semaine » pour aborder le second chapitre de son œuvre solo, le second album de Black Light Burns, The moment you realize you’re going to fall.

Après un premier album bluffant, j’étais particulièrement impatient de pouvoir m’attaquer à un second album, toutefois, la première écoute fut choquante. Passant d’un style relativement très influencé par Nine Inch Nails, le second album est très clairement le vrai premier album de Black Light Burns, c’est-à-dire le premier album totalement sorti de l’esprit troublé et créatif de Wes Borland.
Une œuvre personnelle, impressionnante, choquante, entrainante, qui fait vaciller pendant les premier instants, et rend addict après quelques écoutes.
Comme on dit si souvent, les albums les plus difficiles à appréhender sont généralement les meilleurs !

Dans un premier temps j’ai réellement détesté cet album. Je me suis dit « Mais qu’est-ce que c’est que ce truc bruitiste, sans cohérence », mais après quelques semaines je me suis repenché dessus. Je me suis laissé emporter par ce style très personnel de Wes, un mélange de rock, de punk, de métal avec une folie indéniable dans chaque chanson.
Et j’ai fini par appréhender tout cela pas à pas. Cela n’a pas été facile, mais partant d’une déception énorme face à cet album, je me suis rendu compte qu’il fallait seulement persévérer pour en déceler les particularités. Maintenant, nous me croiraient ou pas, mais le deuxième album de Black Light Burns « The moment you realize you’re going to fall » est devenu un de mes album préféré et je dois quasiment l’écouter une fois par mois.
C’est un exemple de créativité personnel, où Wes n’as cherché qu’une chose. Créer quelque chose qu’il aime sans se poser de question, sans se demander si les autres aimeraient. On sent qu’il a fait cet album pour lui, et je l’en remercie. J’attends le troisième avec impatience, espérons que Wes Borland ne traine pas trop longtemps avec Limp Bizkit, car même si leur reformation est particulièrement de bonne qualité (et oui j’ai dit ça !) cela ne sera jamais équivalent à Black Light Burns !

Le clip qui suit est en fait la réunion de deux clips réalisés pour ce second album. Le Chapitre 1 tiré de la chanson « The moment you realize you’re going to fall » et le Chapitre 2 tiré de la chanson « How to look naked ».
C’est deux clip ne font qu’un car ils racontent une seul histoire, comme tout l’album d’ailleurs.
Alors maintenant c’est le moment, cliquez sur « PLAY » et laissez-nous emporter dans le monde de Black Light Burns, vous allez adorez ! Et n’hésitez pas pour foncer vous procurer l’album entier, il vaut le détour, c’est une pièce maitresse du monde actuel du Rock !

Enjoy
D.A.G.

PS. N’hésitez pas à laisser votre avis 😉 et si vous voulez en savoir plus sur ce groupe exceptionnel cliquez ici pour aller faire un tour sur leur site officiel.

http://blacklightburnsofficial.com/home.html

Translating…

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So, starting from now, I will try to translate all new articles I will published, and also old one. In this way, my blog will be more attractive for english people. A Sad Picture Of A Red Sky will be a bilingual blog in english and french. Stay tuned 😉

Donc, à partir de maintenant, je vais essayer de traduire tout les nouveaux articles que je publierais, mais aussi les anciens déjà publiés. De cette manière, mon blog sera plus intéressant et abordable pour les anglophones. A Sad Picture Of A Red Sky va devenir un blog bilingue en anglais et français. Restés connectés 😉

D.A.G.

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Let’s start !

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Aller c’est parti ! Cette fois c’est décidé je vais enfin faire vivre ce blog 🙂 le boulot m’occupe énormement mais je vous promais que je vais faire tout ce que je peux 🙂 en commençant par la couverture du premier tome de Heaven Infinity !

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