Preacher en comics, le tome 1 c’était bien, mais les 8 autres, c’est comment ?

Publié le Mis à jour le

Après vous avoir parlé du tome 1 du comics Preacher dans un précédent article, je reviens aujourd’hui avec ma critique sur l’ensemble de la saga de Jesse Custer, à savoir l’ensemble des 9 tomes !


Comme je vous en avais parlé la dernière fois, j’ai connu le comics lorsque j’ai entendu parlé de l’adaptation en série-TV (ne vous inquiétez pas, l’article sur la série arrive lui aussi 😉 ) par la chaîne AMC. Dès lors que je me suis intéressé aux aventures de Jesse, Cassidy et Tulip, je n’ai pas réussi à décrocher et il a fallu que j’aille jusqu’à la fin ! 🙂

Petit récapitulatif de l’histoire de Preacher !
A première vue, le révérend Jesse Custer n’a rien de spécial : c’est le pasteur d’une petite ville qui perd lentement ses ouailles et sa foi. Mais il va avoir la preuve irréfutable que Dieu existe vraiment… et qu’Il est un sacré salopard.
En un instant, la vie de Jesse bascule à jamais… et il n’aura de cesse de comprendre pourquoi. Accompagné de Tulip, une ex à la gâchette facile, et de Cassidy, un vampire irlandais, le révérend Custer entreprend un voyage qui l’emmènera des tréfonds du Texas jusqu’à une New York amère, et au-delà. Il veut réclamer des réponses au Seigneur tout puissant, mais celles-ci devront être durement gagnées… car le Ciel a envoyé quelque chose d’effroyable à ses trousses.
C’est bon ? Vous vous souvenez ? Parfait, alors maintenant je peux vous parler de l’ensemble de l’aventure 😉

Créé par Garth Ennis (ayant sévit depuis sur Judge Dredd, Hitman, The Punisher ou encore The Boys), qui s’est chargé du scénario, et Steve Dillon qui lui œuvrait au niveau du dessin (connu aussi pour Hellblazer, Doctor Who, Judge Dredd, Wildcats, Bullseye), avec Glenn Fabry (Slaine, Judge Dredd, Daredevil ou encore Thor) pour les couvertures, Preacher est l’un des titres phare du label Vertigo, une branche de DC comics pour adulte (non, pas pour des comics classés X je vous rassure, mais des comics relativement violent et usant d’un langage particulièrement cru !). Ayant reçu plusieurs récompenses (Meilleur scénariste en 1998 et meilleur série régulière en 1999), la série débute en 1995 pour se terminer en 2000 avec 66 épisodes, 5 numéros spéciaux et une mini-série en 4 épisodes. Ce n’est pas extrêmement long, mais pas non plus super court, je trouve que c’est exactement ce qu’il faut pour ne pas lasser et user la série. Et après avoir lu les 9 tomes, il ne fallait pas aller plus loin, ils se sont arrêtés au moment parfait !
Preacher est à l’époque un chef de file d’un nouveau genre, avec un ton très irrévérencieux et décalé, mais surtout de l’humour très noir !

Les critiques tout autant que les commentaires que l’on peut retrouver un peu partout sur internet ne font qu’encenser la série. Ce qui a encore plus renforcé mon intérêt pour ce comics et très franchement, même après 9 tomes, je peux le dire, je n’ai pas été déçu !!!
Mais arrêtons l’histoire et rentrons un peu plus dans le vif du sujet, car il faut être objectif – j’essaie de l’être le plus possible dans mes articles – bien que bourré de qualité, Preacher n’est pas sans défauts, loin de là !

Tout d’abord, le gros point fort, l’histoire ! C’était le cas dans le premier tome, et elle reste de qualité durant le reste de la saga. Si cela ne paye pas forcément de mine aux premiers abords, Preacher regorge d’intérêts autant au niveau rebondissements qu’au niveau des personnages. L’histoire est un peu mystérieuse au début, on ne sait pas trop ce qu’il se passe, mais heureusement il ne faut pas attendre trois tomes pour savoir ce qu’il en est. Arrivé à environs la moitié du tome 1 on connait le fond de l’histoire, en quelque sorte la mythologie, et à partir de là, la quête de Jesse, Tulip et Cassidy peut commencer. L’ensemble est très bien amené, avec une histoire qui est assez profonde et bien travaillée. Il y a des anges, des démons, des vampires, des armes, du sang – plus ou moins de partout lol – on ne s’ennuie vraiment pas et on en a pour son argent si je puis dire :p
L’histoire me fait un peu penser à ce que j’ai pu voir dans la série Supernatural, avec les cieux et l’enfer qui s’affrontent sans prendre vraiment en compte qu’il y a les humains au milieu, et qu’ils peuvent venir mettre des bâtons dans leurs roues.
La narration est vraiment de qualité car on ne peut s’arrêter de tourner les pages. De plus, suite au tome 1, les méchants vont se multiplier en étant tous de plus en plus fous et abominables. Entre Odin Quincannon – dirigeant d’un abattoir – troublant et particulièrement troublé avec une passion étrange pour la viande, son assistante Mlle Oatlash, SM et nazi-addict, mais surtout l’organisation du Graal dirigée par l’Archipère d’Aronique boulimique vicieux et violent qui dirige son organisation d’une main de fer, son lieutenant Herr Starr (son passé est abordé dans le tome 6 et il vaut le détour !) accompagné de ses assistants Featherstone et Hoover.
Starr est vraiment l’un des méchants les plus passionnants que j’ai pu voir dans un comics. Particulièrement sadique, dérangé et surtout sans la moindre conscience, à partir de sa première apparition il ne cesse de nous surprendre. De plus, son évolution est époustouflante. Il démarre avec plus ou moins une certaine envie d’arranger le monde, puis cette envie se transforme petit à petit en une vengeance contre Jesse. C’est crescendo au point qu’il finit par mettre en place une mini-guerre dans le désert !!! Un fou qu’on adore ! Un vrai méchant !
(je trépigne d’avance à l’idée de le voir à l’écran dans la série !!!)

Tout ceci ne va pas rendre la vie facile à Jesse et ses amis. Durant ce « voyage initiatique », Jesse va découvrir beaucoup sur son passé, et nous beaucoup sur toute sa vie, entre le temps où son père était soldat durant la Guerre du Vietnam, comment ses parents se sont rencontrés ainsi que son enfance tourmentée qui l’a menée à devenir prêtre, mais aussi sa rencontre avec Tulip et pourquoi il l’a abandonnée du jour au lendemain. On découvre que Jesse a vraiment eu une vie de merde – y’a pas d’autres mots – et on comprend pourquoi il est remonté contre Dieu et veut lui demander des comptes.
Mais il ne faut pas oublier que Jesse est suivi par Tulip et Cassidy. La relation de ces trois personnages est fusionnelle et compliquée. Autant pour Tulip que pour Cassidy nous en apprenons plus sur leur passé et ce qui les a amenés où ils en sont aujourd’hui. Tous trois ont eu des histoires bien tristes et compliquées ce qui fait d’eux des personnages passionnants et fouillés.
Ils nous offrent de bons moments de fusillades, de rire et de bagarre. Entre la relation d’amitié entre les trois, la relation de frère entre Cassidy et Jesse et le principe d’âmes sœurs entre Tulip et Jesse, nous sommes gâtés pour les relations humaines 🙂 Ainsi, Ennis nous offre des personnages auxquels on s’attache rapidement et solidement !
Les têtes d’affiche que sont Jesse, Tulip et Cassidy sont excellentes. Chacun a ses principes, ses façons de faire assez tordus lol Mais ils font une très bonne équipe. Jesse est un prêtre particulièrement intéressant, avec des méthodes expéditives (lorsque quelqu’un lui demande « Mais quel est mon péché ? » Jesse lui répond « Nous avoir fait chier ! » que dire à part réplique excellente qui me fait rêver ! 😉 ), sans pour autant oublier d’avoir un grand cœur, Cassidy est vraiment cool, et Tulip est à la fois touchante, sensible et dangereuse avec une arme ! C’est un sans-faute pour tous les trois !

Pour ce qui est des personnages secondaires, je ne rentrerais pas dans les détails au risque de vous gâcher le plaisir, mais en tout cas il faut que vous sachiez qu’ils sont nombreux et très diversifiés ! En tête de liste il y a tout de même le Saint des Tueurs – qui fait vraiment penser à un Clint Eastwood diabolique – qui porte un nom éloquent. Redoutable, implacable, on se demande comment Jesse et son équipe vont s’en débarrasser. Et en deuxième il ne faut pas oublier Tête-de-fion ! (Arseface pour les intimes 😉 ) Le nom veut tout dire lol Un personnage particulièrement original et à la fois troublant ! Son rôle a son importance dans Preacher.
Ennis n’a vraiment pas été avare en personnages et ça fait plaisir car cela permet d’avoir un récit fourni avec tout de même pas mal de rebondissements. Voici d’ailleurs une petite image sympa regroupant – je crois – tous les personnages secondaires que l’on croise tout au long du périple de Jesse !

Rien n’est fait dans la demi-mesure dans Preacher, entre les pervers, les obsédés sexuels, les consanguins, les anges, les détectives du sexe (j’admets que comme ça, ça doit faire bizarre ce nom, mais croyez-moi ça va avec l’histoire, même si ça reste bizarre lol), les démons, les fanatiques fascistes, le Klux Klux Klan, les racistes, la soirée « Sodome et Gomorrhe » animée par le tordu Seigneur Jesus est au-delà de toute imagination, bref la liste pourrait continuer, mais en tout cas il faut quand même être prévenu ! 😉
Toutefois, ce n’est pas vraiment dans le répugnant, et on ne « voit » pas vraiment toutes ces choses que j’ai cités (des fois quand même). Assez souvent, toutes ces choses sont suggérées. L’ensemble est savamment dosé pour ne pas aller trop dans le choquant et s’axer de manière général à critiquer la société américaine en toile de fond avec toutes les choses que les gens fonts dans l’excès pour se sentir vivre ou juste assouvir leurs pulsions primaires.
A travers son humour noir et toutes ces choses boarder-line – lol – il dépeint une société pervertie, notamment au niveau des riches et des grandes instances, et se permet de critiquer l’ensemble ouvertement, que ce soit les racistes, la violence gratuite, les gens qui ont du pouvoir et à qui ça tourne la tête, tout le monde en prend pour son grade ! 😉

Le Dessin était la partie la plus compliquée dans le tome 1 et c’est le cas pour le reste des productions. Dans un sens il est bon, il n’y a pas de doutes là-dessus. Glenn Fabry et Steve Dillon nous offrent un dessin tout de même assez précis, détaillé et très réaliste. La couleur est elle aussi assez bien choisie, bien que terne, elle va très bien avec l’histoire de Preacher et offre un côté plus adulte.
Malheureusement, le gros bémol pour moi est que le dessin ne permet pas de mettre en évidence l’action ou les émotions. C’est vraiment dommage car l’ensemble est très fixe et froid. Les rares scènes d’actions ne sont vraiment pas dynamiques pour un sou. Elles ne sont pas ennuyeuses non plus, mais franchement pas passionnantes. Je ne me suis jamais retrouvé surpris contrairement à d’autres séries que j’ai pu voir. Et il en est de même pour les expressions faciales qui ne dégagent pas le sentiment qui est décrit dans les dialogues ou qui correspondrait à la situation.
Sur les 9 tomes c’est une constante, il n’est pas mieux ou moins bien – ce qui en soit pourrait être vu comme un point positif tant certaines séries se dégrade avec le temps – mais franchement il tend presque des fois vers le moche. Oui, je suis direct, mais le dessin est tout de même assez dur à digérer. Si après quelques tomes on s’y habitue, quand on attaque d’autres comics on est presque choqué par la beauté lol
Malgré tout, cela ne gâche pas l’œuvre. Preacher est vraiment bluffant, mais un meilleur dessin aurait pu grandement améliorer le tout. Il est clair qu’un tel point influe sur la note finale :p

Le dessin est vraiment le point faible de Preacher, mais il y a tout de même quelques critiques à faire en plus de cela :p
Concernant Dieu, qui est un personnage à part entière de l’histoire et que l’on croise, de manière générale ses interventions sont étranges. Bien que ce soit plus ou moins le « fil rouge » de Preacher, on s’y perd un peu, on ne comprend pas trop pourquoi il a quitté son trône (oui, si vous lisez cet article pour moi vous devez avoir lu le premier tome de Preacher où on apprend que Dieu a quitté le paradis et est sur Terre) et qu’est-ce qu’il fait sur Terre. Bien que dépeint comme un tortionnaire sans cœur et vaniteux (oui, critique de la religion aussi :p), ses réels motivations sont assez troubles. Même jusqu’à la fin de l’histoire. Je vous laisserais juger, mais en ce qui me concerne je n’ai encore pas compris ce que voulais faire passer Ennis avec le personnage de Dieu et ce qu’il lui arrive.
L’autre point que j’ai trouvé bof, c’est le fait d’avoir John Wayne qui fait des apparitions de temps à autre pour aider Jesse à ne pas craquer, un peu comme un Jiminy Cricket pour Jesse. Une représentation imagée de sa conscience, quelque chose du genre. Mais là j’ai trouvé qu’Enis était allé loin. C’est un peu Too Much, même pour moi :p Et au final c’est apparition n’apporte franchement rien du tout à l’histoire. J’espère vraiment qu’ils ne tenteront pas de mettre cette idée dans la série sinon je vais vraiment moins bien aimer :p lol
Le dernier petit point que je voulais aborder dans la rubrique « peu mieux faire », c’est le manque d’action. Si certains moments sont un pur plaisir de rebondissements, où ça bouge dans tous les sens, il faut admettre qu’il y a beaucoup de trous d’air ! Après, je suis tout à fait d’accord avec vous, il faut des discussions pour étoffer l’histoire et les sentiments des protagonistes, toutefois, il y a vraiment beaucoup de blablas. Certains passages où Jesse et Cassidy divaguent sur différents sujets en buvant un verre – ou plus :p – sont limite fatiguant. Il m’est arrivé de temps en temps de regarder combien il y avait de pages avant que les personnages changent de décors pour retrouver un peu d’action.
Comme je l’ai dit, Preacher vaut largement le détour, mais cette saga aurait peut-être gagnée encore plus en intérêt avec tout de même un peu d’action en plus, et moins de palabres lol

Pour finir, parlons style. Si Preacher offre une histoire accrocheuse, le style y est aussi pour beaucoup ! Ce n’est franchement pas une série à mettre entre toutes les mains ! Il y a du sang, des tripes, des morts, des crânes et mâchoires explosées, du sexe, des connotations sadomasochistes, Tête-de-fion qui ne laisse franchement pas indifférent, sans oublier des séria-killer ou encore le Klux Klux Klan. Et bien entendu le langage va avec ! Je ne ferais pas de citations, on s’est compris 😉 lol
Cependant, ce n’est pas un point négatif ! Cela va avec Preacher, et c’est parfait ! C’est grossier, condescendant, irrespectueux, et l’humour est là, mais bien noir comme un bon café 😉 lol J’ai adoré !

Au final, Preacher c’est quoi ? Au-delà de l’aspect sans limite, du langage grossier ou encore de la violence et des critiques envers les défauts de la société, à mes yeux, Preacher est une histoire d’amour et d’amitié puissante !
Cassidy et Jesse développent une amitié forte, et le mot est faible. Ils vont chacun risquer leur vie pour sauver celle de l’autre, mais ce ne sera pas sans dégâts. Quand à Jesse et Tulip, tant de choses se mettent entre leur route, les séparant à chaque fois, mais le destin les ramène toujours sur la même route. Comme si une force voulait leur montrer que l’un sans l’autre ils ne pourraient pas vivre pleinement. J’ai beaucoup aimé cette relation et cela fait encore plus de Preacher une histoire exceptionnelle !

La saga Preacher est une grosse claque. Je ne savais pas à quoi m’attendre et j’ai été ravi ! Il est vrai que le dessin aurait pu être un peu mieux car il y a tout de même un manque de vie (et c’est pas non plus super jolie des fois :p), le blabla est très présent et certaines idées – notamment le rôle de Dieu dans tout ça – restent assez troubles, mais ce n’est pas pour autant que cela ne vaut pas le détour, bien au contraire. Pour moi c’est un quasi-sans-fautes ! Preacher passionne, sort clairement des sentiers battus avec un style outrancier parfait et de l’humour noir excellent !
La saga vaut un beau 16/20 ! Elle a su en plus s’arrêter lorsqu’il le fallait !
Ce n’est pas à mettre entre toutes les mains vu le style très « adulte ». La violence est très présente mais comme je l’ai dit, c’est indissociable de cet univers. Si ce style ne vous dérange pas, vous allez adorer je vous le garanti ! On se prend d’affection pour Jesse et ses amis, et on réalise se parcours spirituel avec plaisir en compagnie de Jesse et ses amis. J’adore et je vous le conseille vivement !

Enjoy !!!
A bientôt,
Desmond Andrew Green

PS. Concernant le tome 4, je reste partagé. Ce n’est pas vraiment un tome primordial car il est uniquement constitué d’histoires courtes. La première concerne le Saint des Tueurs, « Saint of Killers », la deuxième concerne Arseface, « The Story of You-Know-Who », et la troisième concerne Jody et T.J., « The Good Old Boys ». Ces histoires ne sont pas très intéressantes et surtout, vraiment, mais vraiment, mal dessinées. C’est à vous de voir. Je ne trouve pas que ce tome soit indispensable. Contrairement à l’histoire courte dans le tome 5 « Cassidy : Blood And Whiskey » qui est passionante et aussi bien dessinée que Preacher.

15 réflexions au sujet de « Preacher en comics, le tome 1 c’était bien, mais les 8 autres, c’est comment ? »

    mamiemissivory a dit:
    13 février 2017 à 22 h 58 min

    le titre lol ! moi j’ai regardé la série et j’avoue que j’ai eu du mal je ne sais pas ce que ça va donner en bande dessinée. si tu as le temps pense à suivre mon blog serialfoodieleblog.com et mon webzine serial-foodie.com merci !

    Aimé par 1 personne

      desmondag a répondu:
      15 février 2017 à 22 h 16 min

      Je peux comprendre que tu ais eu du mal. C’est tout de même un genre peu banal. Mais la bande dessinée c’est pire lol Toutefois, c’est un style et c’est claire que c’est tout ou rien. ça plait ou pas, il n’y a pas d’intermédiaire !
      Merci pour le com !
      Desmond

      Aimé par 1 personne

        mamiemissivory a dit:
        16 février 2017 à 12 h 10 min

        Coucou Desmond pas de merci, on découvre chaque jour sur ton blog et si la bande dessinée est pire c’est terrible ! il devrait essayer de se revoir sérieusement, parce qu’il y a un potentiel à exploiter

        Aimé par 1 personne

    Lutin82 a dit:
    14 février 2017 à 20 h 24 min

    Waou! Comme d’ahb, c’est un sacré article? J’admire le travail et le récap que tu en fais.
    Bravo! Impressionnée, je suis!

    Aimé par 1 personne

      desmondag a répondu:
      15 février 2017 à 22 h 18 min

      Merci beaucoup pour tous ces compliments 😉 C’est très gentil !
      J’espère que tu vas continuer à apprécier, et c’est toujours un plaisir d’avoir tes commentaires et d’y répondre 😉
      Au plaisir,
      Desmond

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    Orpheus a dit:
    7 octobre 2018 à 17 h 57 min

    Hello Desmond,

    La raison pour laquelle le Tome 4 est en-dessous du reste est qu’il ne fait pas partie de la série originale ! Ce sont des spin-offs, réunis seulement en français, et donc très inégaux. J’aime beaucoup celui sur le Saint of Killers, les autres sont très dispensables.

    Il y a quand même des moments inégaux dans la série, des passages où Garth Ennis se laisse prendre à s’auto-caricaturer, à se prendre à son propre délire jusqu’à s’y perdre un peu. Mais oui Preacher est une série de qualité, parmi les meilleures sorties à cette époque.

    Et c’est bien pour cela que je n’ai pas pu regarder la série au-delà du pilote, tant elle trahit d’emblée le propos et les personnages…

    Aimé par 1 personne

      desmondag a répondu:
      27 décembre 2018 à 21 h 57 min

      Oui, je savais que c’étais des spin-offs. Je suis assez d’accord, à part celui sur le saint ce n’est pas franchement intéressant.
      Je suis tout à fait d’accord, Preacher n’est pas parfait loin de là, mais il présente de très bons points qui en fait l’un des comics dans mon top 10.
      Pour ce qui est de la série, je dois admettre que je n’attendais pas grand chose au départ. Une adaptation pareil m’intriguait plus qu’autre chose. Personnellement j’ai aimé le retravail de l’histoire. Au final, la saison 1 n’est pas mauvaise mais laisse perplexe, on ne comprend pas vraiment où va l’histoire, mais la deux et la trois sont franchement géniales !
      Merci en tout cas pour ton commentaire et revient quand tu veux 😉
      Desmond

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